Inhoud HPM  Gustave Flaubert (1821-1880)

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1821, 24 december

Gustave Flaubert geboren in Rouen

1843

La première éducation sentimentale

L' Education sentimentale is Flauberts belangrijkste roman geworden. De eerste versie begon Flaubert te schrijven in 1843 in Parijs en werd voltooid in 1845 in Rouen. Deze versie werd uitgegeven in 1914. Er komt geen papegaai in voor. In oktober 1864 begint Flaubert aan de tweede versie van L' Education sentimentale, die op 17 november 1869 in druk verschijnt. Daarin komt ook al geen papegaai voor maar wel een papegaaienstok. De gebeurtenissen die Flaubert dan beschrijft, vonden plaats in het Parijs van het zogenaamde Juni-oproer in 1848, Naar de papegaaienstok van L'Education sentimentale
1846

Correspondance

Vertaling uit Haat is deugd, door E. Borger, 1979

In het land der papegaaien

11 décembre 1846

A Madame X. 

Vendredi, 4 h. du soir,

Je saisis bien ce que c'était pour le Grec qui n'avait que sa ville, pour le Romain qui n'avait que Rome, pour le sauvage qu'on vient traquer dans sa forêt, pour l'Arabe qu'on poursuit jusque sous sa tente. Mais nous, est-ce qu'au fond nous ne nous sentons pas aussi bien Chinois ou Anglais que Français, n'est-ce pas à l'étranger que vont tous nos rêves? Enfant nous désirons vivre dans le pays des perroquets et des dattes confites, nous nous élevons avec Byron ou Virgile, nous convoitons l'Orient dans nos jours de pluie ou bien nous désirons aller faire fortune aux hides, ou exploiter la canne à sucre en Amérique. La Patrie c'est la terre, c'est l'Univers, ce sont les étoiles, c'est l'air, c'est la pensée elle-même, c'est- à-dire l’infini dans notre poitrine, mais les querelles de peuple à peuple, de canton à arrondissement, d'homme à homme, m'intéressent peu et ne m'amusent que lorsque ça fait de grands tableaux avec des fonds rouges.

 

Aan Louise Colet

Ik begrijp wel wat het voor een Griek was, die alleen zijn stad had en voor de Romein die alleen Rome had en voor de wilde, die men najaagt tot in zijn oerwoud en voor de Arabier die men achtervolgt tot in zijn tent. Maar wij voelen wij ons niet evenzeer Chinees, Engels en Frans? Als kinderen willen wij in het land van papegaaien en gekonfijte dadels wonen, wij dromen weg met Byron of Vergilius, wij verlangen naar het Oosten op onze regenachtige dagen of anders willen wij fortuin gaan maken in Indië of een suikerplantage in Amerika beginnen. Het vaderland, dat is de aarde, dat is het universum, dat zijn de sterren, dat is de lucht. Het is het denken zelf, dat wil zeggen het oneindige in onze borst. Maar de twisten van volk met volk, van kanton met arrondissement, van de ene mens met de andere, interesseren me alleen wanneer zij gepaard gaan met grootse taferelen tegen een rode achtergrond.

1983
1846, mei Flaubert schrijft de eerste versie van La Tentation de saint Antoine Er zijn drie versies bekend van La Tentation de saint Antoine - voor de citaten daaruit zie hieronder
1847 

Par les champs et par les grèves 

geschreven in 1847, gepubliceerd in 1885

Papegaaien als kniebeschermer

En voyant l'église, nous comprîmes quelle opulente cité avait dû s'agiter là. Elle est grande, droite, sans transept, portant nef et bas-côtés et couverte d'un vaisseau en bois gris. Malgré les écussons de ses vitraux et de ses pavés, elle est misérable maintenant, les autels sont presque nus, pas un tableau, à peine quelques statues de bois.

La mort et l'abandon sont partout. Dans un coin, au-dessous d'une magnifique fenêtre ogivale dont les baguettes enlacées forment trois fleurs de lys découpées dans la pierre vive, nous avisâmes cependant un groupe en bois représentant saint Michel terrassant le Diable. Le milicien céleste est un jeune homme rehaussé en couleurs, frise d'une perruque ébouriffée, armé de la lance de rigueur et serré dans une cotte d'armes en écailles de poisson. Le démon qui rampe et succombe à ses pieds est un monstre d'une belle fantaisie: une queue de dragon se visse à son échine, sa face est un masque aplati degrenouille; des têtes de perroquet ferment ses genoux; des pattes de bouc s'abaissent sous lui; ses coudes sont deux becs de vautour et ses griffes longues, ardues et acérées, se recourbent au bout de ses doigts de singe.

1849

La première Tentation de Saint Antoine

Takken, fluiten en papegaaien

Le Sadhuzag:

(...) Mes soixante-douze andouillers sont creux comme des flûtes. Je les courbe et je les redresse... tiens! (Il fait remuer son bois en avant et en arrière.)

Quand je me tourne vers le vent du sud, il s'en échappe des sons qui attirent à moi les bêtes ravies. Les serpents s'enroulent à mes jambes, les guêpes se collent à mes narines et les perroquets, les colombes et les ibis se tiennent perchés sur mes rameaux... Écoute! (Il renverse son bois, d'où sort une musique ineffable.)

Antoine:

Quels sons! mon cœur se détache! il vibre! cette mélodie va remporter avec elle!

Le Sadhuzag:

Mais quand je me tourne vers le nord et que j'incline mon bois plus touffu qu'un bataillon de lances, il en part une voix terrible, et les forêts tressaillent, les cascades remontent, les lotus s'éclatent, la terre tremble et les herbes se hérissent comme la chevelure d'un lâche... Écoute!

 

Goden berijden papegaaien

(...) (Il est plein; les Dieux l'encombrent: dieux à plusieurs têtes, à plusieurs bras, à plusieurs pieds, rayonnants d'auréoles, et qui semblent engourdis dans des abstractions étemelles. Des serpents s'enroulent à leurs corps, passent entre leurs cuisses, et, se dressant, puis se courbant, s'inclinent au-dessus d'eux, comme des berceaux de couleur. Ils sont assis sur des vaches, sur des tigres, sur des perroquets, sur des gazelles, sur des trônes à triples étages.   Leurs trompes d'éléphants se balancent comme des encensoirs, leurs yeux scintillent comme des étoiles, leurs dents bruissent comme des glaives.)

 

Altijd weer papegaaien

Assourdis de notre vacarme, assombris par nos joies, ennuyés par nos tristesses... nous en ayons des convulsions, des rhumatismes et des cancers!... Y a-t-il assez longtemps que, nous traînant par le monde, nous exhibons éternellement la même facétie! Ce sont toujours des singes, des perroquets, des adjectifs et des rubans, des femmes colosses et des pensées sublimes! Que de fois nous avons regardé les étoiles, en répétant le même refrain! et secoué la rosée d'avril et gazouillé les romances de la fauvette! Avons-nous assez comparé les feuilles aux illusions, les hommes à des grains de sable, les jeunes filles à des roses!

Er zijn drie versies van La tentation de saint Antoine - klik hier voor het overzicht hieronder 

 

Flaubert verwijst hier naar een gecompliceerd beeld van de goddelijke wereld. Een wereld waarin de (Oosterse) goden papegaaien berijden. De levensbeschouwing van de Kama's. Zie de HPM-pagina voor afbeeldingen:

Kama 

1849

Voyage en Orient 

Égypte

Een oude, zieke papegaai

D’Alexandrie au Cairo:

Dimanche matin départ sur un bateau remorqué par un petit vapeur qui ne contient que la machine. Rives plates et mortes de la Mamuddieh; sur le bord quelques Arabes tout nus, qui courent; de temps à autre, un voyageur à cheval qui passe, enveloppé de blanc et trottinant sur sa selle turque. Passagers Mme Chedutan, grande, maigre, élégante, vêtue en grecque; son mari, médecin français au service du vice-roi, couché sur des couvertures en bas, avec une Abyssinienne à ses côtés qui le soigne; famille anglaise, hideuse; la maman semblait un vieux perroquet malade (à cause de son auvent vert ajouté à sa capote); M. Duval de Beaulieu, secrétaire de l'ambassade belge à Constantinople; ingénieur arabe parlant anglais et se passant de porter le soir à table.

 

Papegaai met hazenpoten

Les colonnes sont couvertes d'hiéroglyphes. Sur les colonnes on voit une espèce d'oiseau ressemblant par le corps à un perroquet avec des oreilles et des pattes de lièvre; il est accroupi sur le train de derrière, dans une position animée, et les pattes rapprochées de la tête. Comme plastique, l'ensemble du dessin de toutes ces représentations est généralement lourd, mastoc, décadent; les genoux, au lieu d'être perpendiculaires à la jambe, sont rentrés en dedans, comme les miens, ce qui est laid.

1850

Correspondance

Papegaaienneus

mai, 1850

À sa mère

II vit avec un sale nègre dans une maison obscure. Sa famille le redoute, et lorsqu'il lit sa tragédie, tout chez lui tremble de silence et d'attention. II porte un nez en perroquet, des lunettes bleues et est accusé par un ingénieur de lui avoir volé une caisse d'habits. La canaille française à l'étranger est magnifique et j'ajoute nombreuse.

1852

Correspondance

Stijl en stem

Fevr. 1852

A Madame X.

J'ai toujours vu le but se reculer devant moi, d'années en années. De progrès en progrès, que de fois je suis tombé à plat ventre au moment où il me semblait le toucher. Je sens pourtant que je ne dois pas mourir sans avoir fait rugir quelque part un style comme je l'entends dans ma tête, et qui pourra bien dominer la voix des perroquets et des cigales.

 

IJdelheid is een papegaai

1852.

A Madame X.

II y a dedans une petite phrase à mon intention et faite exprès pour moi: « la solitude qui porte à ses deux sinistres mamelles l'égoïsme et la vanité». Je t'assure que ça m'a fait rire; égoïsme soit, mais vanité non. L'orgueil est une bête féroce qui vit dans les cavernes et dans les déserts, la vanité au contraire, comme un perroquet, saute de branche en branche et bavarde en pleine lumière (...)

1853

Correspondance

Voor papegaai studeren

Janvier 1853.

A Madame X.

J'ai demain à déjeuner un jeune homme que Bouilhet m'a amené dimanche. Je l'avais connu enfant lorsqu'il avait sept à dix ans; son père, magistrat inepte, en faisait un perroquet et le poussait aux bonnes études, mais malgré tous ses soins il n'est point devenu un crétin (ce qui désole le père) et il a pris en goût sérieux la littérature, il est hugotique, rouge, etc., de là désolation de la famille, haine de tous les concitoyens, mépris du bourgeois; il désirait depuis longtemps faire ma connaissance. Je l'ai reçu carrément et dans tout le déshabillé franc de ma pensée; c'est ce qu'il faut faire aux gens qui viennent nous flairer par curiosité. S'ils sont choqués, ils ne reviennent plus, et s'ils vous aiment c'est qu'ils vous connaissent.

 

Wij zijn allemaal vogels

1853

A Madame X.

Tu me parais, pauvre chère amie, triste, lasse, découragée. Oh! la vie pèse lourd sur ceux qui ont des ailes; plus les ailes sont grandes, plus l'envergure est douloureuse. Les serins en cage sautillent, sont joyeux, mais les aigles ont l'air sombre, parce qu'ils brisent leurs plumes contre les barreaux; or nous sommes tous plus ou moins aigles ou serins, perroquets ou vautours. La dimension d'une âme peut se mesurer à sa souffrance, comme on calcule la profondeur des fleuves à leur courant.

 

As-tu déjeuné, Jacko

A Louis Bouilhet

Trouville, 23 août 1853.

Pour aller dans la cour il faut passer par-dessus des paniers pleins de bouteilles. Là, crache une pompe qui vous mouille les jambes. Les deux garçons rincent des bocaux; un perroquet répète du matin au soir: as-tu déjeuné, Jacko? et enfin un môme de dix ans environ, le fils de la maison, l’espoir de la pharmacie, s'exerce à des tours de force en soulevant des poids avec ses dents.

Ce voyage de Trouville m'a fait repasser mon cours d'histoire intime. J'ai beaucoup rêvassé sur ce théâtre de mes passions. Je prends congé d'elles et pour toujours, je l'espère; me voilà à moitié de la vie, il est temps de dire adieu aux tristesses juvéniles.

Gustave Flaubert door Nadar (detail)

1856

La tentation de saint Antoine - 2e versie 

Takken, fluiten en papegaaien (2)

Antoine.

Qui donc me souffle à la figure ce parfum de sève où mon coeur défaille ?

Et il aperçoit :

(Le Sadhuzag grand cerf noir à la tête de boeuf, qui porte, entre les oreilles, un buisson de cornes blanches.)

Mes soixante-douze andouillers sont creux comme des flûtes. Je les courbe et je les redresse... tiens !

Il fait remuer son bois en avant et en arrière.

Quand je me tourne vers le vent du sud, il s'en échappe des sons qui attirent à moi les bêtes ravies. Les serpents s'enroulent à mes jambes, les guêpes se collent à mes narines et les perroquets, les colombes et les ibis se tiennent perchés sur mes rameaux... écoute !

Il renverse son bois, d'où sort une musique ineffable.

Antoine.

Quels sons ! Mon coeur se détache ! Il vibre ! Cette mélodie va l'emporter avec elle !

Le Sadhuzag.

Mais quand je me tourne vers le nord et que j'incline mon bois plus touffu qu'un bataillon de lances, il en part une voix terrible, et les forêts tressaillent, les cascades remontent, les lotus s'éclatent, la terre tremble et les herbes se hérissent comme la chevelure d'un lâche... écoute!

Il baisse en avant ses rameaux, d'où sort une musique épouvantable.

 

Goden berijden papegaaien (2)

Plus vite! Plus vite!

Puis l'idole de Tartarie, statue d'homme en agate verte, qui dans sa main d'argent tient sept flèches sans plumes.

Allons donc !

Puis les trois cent soixante idoles des Arabes, correspondant aux jours de l'année, qui vont grandissant de taille et diminuant.

Passez! Passez!

Puis l'idole des Gangarides, en maroquin jaune, assise sur ses jambes, la tête rase, le doigt levé. Elle se déchire en pièces sous les coups de la Mort, et l'étoupe de ses membres voltige de tous côtés. Secouant dans ses mains les longues guides d'or qui retiennent ses soixante-trois chevaux à crinière blanche, assis sur un trône de cristal et sous un pavillon de perles à franges de saphir, arrive le Gange, traînant dans un chariot d'ivoire tous ses dieux. Il a une tête de taureau avec des cornes de bélier et sa robe claire disparaît sous des fleurs de pipalas. Les franges du pavillon s'entrechoquent, les crinières des chevaux frissonnent et l'immense char, supporté par deux roues, bascule tantôt d'un côté, tantôt de l'autre.

Il est plein; les dieux l'encombrent: dieux à plusieurs têtes, à plusieurs bras, à plusieurs pieds, rayonnants d'auréoles, et qui semblent engourdis dans des abstractions éternelles. Des serpents s'enroulent à leurs corps, passant entre leurs cuisses, et, se dressant, puis se courbant, s'inclinent au-dessus d'eux, comme des berceaux de couleur. Ils sont assis sur des vaches, sur des tigres, sur des perroquets, sur des gazelles, sur des trônes à triples étages. Leurs trompes d'éléphants se balancent comme des encensoirs, leurs yeux scintillent comme des étoiles, leurs dents bruissent comme des glaives.

Ils portent, dans les mains, des roues de feu qui tournoient, des triangles sur la poitrine, des têtes de mort autour du cou, des palmes vertes sur les épaules. Ils pincent des harpes, chantent des hymnes, crachent des flammes, respirent des fleurs. Des plantes descendent de leur nez, des jets d'eau jaillissent de leurs têtes.

Er zijn drie versies van La tentation de saint Antoine - klik hier voor het overzicht hieronder 
1857

Flaubert debuteert met Madame Bovary, dat in 1856 als feuilleton verschenen is in Revue de Paris

In Madame Bovary komt geen papegaai voor. Wel heeft Emma Bovary enige tijd een hondje dat Djali heet. De naam Djali is naar alle waarschijnlijkheid door Flaubert overgenomen uit Notre-Dame-de-Paris van Victor Hugo. In die roman is Djali het geitje met voorspellende gaven van Esmeralda.

De publicatie in Revue de Paris werd door de redactie gecensureerd. Niettemin werd Flaubert aangeklaagd op verdenking van 'outrage à la morale publique et religieuse, et outrage aux bonnes moeurs'. Hij stond op 24 januari 1857 voor de rechter, en werd vrijgesproken.  

Zie hieronder: 1905
Handschrift van Flaubert - manuscript van Madame Bovary; voor het complete handschrift zie: http://bovary.univ-rouen.fr/ 

1862

Salammbô

Vertaling: Andries de Rosa, 1923  

 

1992

Papegaaien op de schouder

Puis vint la cohue des bagages, des bêtes de somme et des traînards. Des malades gémissaient sur des dromadaires; d'autres s'appuyaient, en boitant, sur le tronçon d'une pique. Les ivrognes emportaient des outres, les voraces des quartiers de viande, des gâteaux, des fruits, du beurre dans des feuilles de figuier, de la neige dans des sacs de toile. On en voyait avec des parasols à la main, avec des perroquets sur l'épaule. Ils se faisaient suivre par des dogues, par des gazelles ou des panthères.

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Daarna kwam de drom van goederen, last- en trekdieren. Zieken kreunden op den rug van dromedarissen; anderen weer steunden, strompelden op de stomp van eener spies. Beschonkenen droegen leeren flesschen, gulzigaards vleeschschonken, koeken, vruchten, boter in vijgebladeren, sneeuw in linnen zakken. Daar waren er ook met zonneschermen in de hand, met papegaaien op de schouder. Zij werden gevold door doghonden, door gazellen of panters.

 

Kussens van papegaaienveren

Salammbô monta sur la terrasse de son palais, soutenue par une esclave qui portait dans un plat de fer des charbons enflammés.

Il y avait au milieu de la terrasse un petit lit d'ivoire, couvert de peaux de lynx avec des coussins en plumes de perroquet, animal fatidique consacré aux Dieux, et dans

les quatre coins s'élevaient quatre longues cassolettes remplies de nard, d'encens, de cinnamome et de myrrhe. L'esclave alluma les parfums.

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Salammbô besteeg het terras van haar paleis, ondersteund door een slavin die in een ijzeren schaal vlammende kolen torste. Midden op het terras stond een klein ivoren bed bedekt met lynxhuiden en kussens van papegaaiveren, het geheimzinnig dier den Goden gewijd, en op de vier hoeken verhieven zich ranke vaten gevuld met nardusolie, wierook, kaneel en myrrhe. De slavin ontstak de reukwerken.

Papegaaientattouage

Sur le premier, à la proue, on apercevait Giscon. Derrière lui, et plus haute qu'un catafalque, s'élevait une caisse énorme, garnie d'anneaux pareils à des couronnes qui pendaient. Apparaissait ensuite la légion des Interprètes, coiffés comme des sphinx, et portant un perroquet tatoué sur la poitrine. Des amis et des esclaves suivaient, tous sans armes, et si nombreux qu'ils se louchaient des épaules.

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Op den boeg van het eerste stond Gisco. Achter hem, en hooger dan een praalbed, verhief zich een ontzaglijke kist van ringen voorzien die als kransen er aan hingen. Vervolgens verscheen het legioen van de Tolken, wier hoodtooi die van sphinxen geleek en op wier borst een papegaai was getatoueerd. Vrienden en slaven daarachter waren allen ongewapend en zoo veeltaliig dat zij schouder aan schouder moesten staan.

Collectie HPM

Andries de Rosa

1869

L'éducation sentimentale

 

Leerschool der liefde  

Vertaling C.J. Kelk

1950

 

De leerschool der liefde  

Vertaling Hans van Pinxteren

1991

Papegaaienstok tussen het puin

Les maisons étaient criblées de projectiles, et leur charpente se montrait sous les écaillures du plâtre. Des jalousies, tenant par un clou, pendaient comme des haillons. Les escaliers ayant croulé, des portes s'ouvraient sur le vide. On apercevait l'intérieur des chambres avec leurs papiers en lambeaux; des choses délicates s'y étaient conservées, quelquefois. Frédéric observa une pendule, un bâton de perroquet, des gravures.

 

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De huizen waren doorzeefd van projectielen en hun houtwerk kwam onder de afschampingen van het pleister te zien. Jaloezieën, die nog aan één spijker hielden, hingen er als vodden bij. Daar de trappen waren ingestort, openden vele deuren op de leegte. Men zag het interieur van de kamers met hun blauw behangsel aan flarden; soms waren er kostelijke dingen gespaard. Frédéric ontdekte een pendule, een papegaaienstok, gravures.

 

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De huizen waren bezaaid met kogelgaten, en het gebint ervan was zichtbaar onder het afgebrokkeld pleister. Jaloezieën hingen, gerafeld als lompen, nog maar aan één spijker. Waar de trappen waren ingestort, openden de deuren in de leegte. Men zag recht de kamers in, met het behang aan flarden; soms waren juist de kwetsbare zaken intact gebleven. Frédéric ontwaarde een pendule, een papegaaiestok, gravures.

Julian Barnes over deze passage

1874

La tentation de Saint Antoine

De wordingsgeschiedenis van La tentation de saint Antoine is als volgt:

- 1846, mei - Flaubert schrijft de eerste versie

- 1849 - Na zijn reis door Bretagne (zie boven) werkt Flaubert weer aan zijn Tentation. Hij leest deze versie voor aan zijn vrienden Du Camp en Bouilhet. Zij raden hem af het verhaal te publiceren.

- 1856-1857 - Flaubert bewerkt het manuscript; in het tijdschrift L' Artiste, onder redactie van Théophile Gautier, verschijnen enige fragmenten.

- 1869 - Na de publikatie van L' Education sentimentale werkt Flaubert weer aan het verhaal.

- 1870 - Flaubert voltooit het manuscript.

- 1874 - Eerste editie van La tentation de saint Antoine.

1874

Dit is de derde en definitieve Tentation

De eerste Tentation - 1849

De tweede versie van de Tentation - 1856

1874

La tentation de Saint Antoine

 

De verzoeking van de heilige Antonius;  vertaling door Hans van Pinxteren

 

1985

 

Papegaaien op takken

Il distingue dans leurs enfourchures des grappes de fleurs jaunes, des fleurs violettes et des fougères, pareilles à des plumes d'oiseaux.

Sous les rameaux les plus bas, se montrent çà et là les cornes d'un bubal, ou les yeux brillants d'une antilope; des perroquets sont juchés, des papillons voltigent, des lézards se traînent, des mouches bourdonnent; et on entend, au milieu du silence, comme la palpitation d'une vie profonde.

 

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In de gaffels ontwaart hij trossen gele en paarse bloemen, en varens die lijken op vogelveren.

Tussen het onderhout verschijnen nu eens de horens van een hertebeest, dan weer de glanzende ogen van een gazel; op de takken zitten papegaaien, er fladderen vlinders, er kruipen hagedissen, er gonzen vliegen; en het is of in de stilte de plosslag hoorbaar wordt van een verborgen leven.

 

De godin berijdt een papegaai

Le chariot tiré par des cavales rouges, que conduit un cocher qui n'a pas de jambes, promène en plein azur le maître du soleil. Le Dieu-lune l'accompagne, dans une -litière attelée de trois gazelles. A genoux sur le dos d'un perroquet, la déesse de la Beauté présente à l'Amour, son fils, sa mamelle ronde. La voici plus loin, qui saute de joie dans les prairies. Regarde ! regarde ! Coiffée d'une mitre éblouissante, elle court sur les blés, sur les flots, monte dans l'air, s'étale partout!

Entre ces Dieux siègent les Génies des vents, des planètes, des mois, des jours, cent mille autres! et leurs aspects sont multiples, leurs transformations rapides. En voilà un qui de poisson devient tortue; il prend la hure d'un sanglier, la taille d'un nain.

#

In de wagen met rode merries, gemend door een voerman zonder benen, vaart de meester van de zon door het hemelruim. De maangod vergezelt hem in een draagstoel, bespannen met drie gazellen. De godin van de schoonheid knielt neer op de rug van een papegaai, terwijl zij aan de minnegod, haar zoon, de ronde borst geeft. En verderop zie je haar vol vreugde door de weiden dansen. Kijk dan! Kijk! Met een fonkelende mitra op het hoofd snelt zij door het koren, over de wateren, zij stijgt in de lucht en laat zich overal zien.

En tussen deze goden huizen de geesten van de winden, van de planeten, de maanden, de dagen, en honderdduizend andere! Ze hebben talrijke gestalten, en hun gedaantewisselingen zijn snel. Daar is er een die van vis in schildpad verandert; hij krijgt de kop van een everzwijn, het postuur van een dwerg.

 

Takken, fluiten en papegaaien (3)

Le Sadhuzag:

Mes soixante-quatorze andouillers sont creux comme des flûtes.

Quand je me tourne vers le vent du sud, il en part des sons qui attirent à moi les bêtes ravies. Les serpents s'enroulent à mes jambes, les guêpes se collent dans mes narines, et les perroquets, les colombes et les ibis s'abattent dans mes rameaux.

— Écoute! 

Il renverse son bois, d'où s'échappe une musique ineffablement douce. Antoine presse son cœur à deux mains. Il lui semble que cette mélodie va emporter son âme.

Le Sadhuzag:

Mais quand je me tourne vers le vent du nord, mon bois plus touffu qu'un bataillon de lances, exhale un hurlement; les forêts tressaillent, les fleuves remontent, la gousse des fruits éclate, et les herbes se dressent comme la chevelure d'un lâche.

— Écoute!

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De Sadhuzag:

Mijn vierenzeventig hoorntjes zijn hol als fluiten.

Als ik mij wend naar de zuidenwind, schallen er klanken uit op die de dieren in vervoering naar mij toelokken. De slangen kronkelen zich rond mijn hoeven, de wespen verzamelen zich in mijn neus, en papegaaien, duiven en ibissen strijken in mijn takken neer. – Luister maar!

Hij houdt zijn gewei achterover, en er stijgt een  onzegbaar zoete muziek uit op.

Antonius drukt beide handen tegen zijn hart. Het is hem of zijn ziel door deze melodie wordt meegevoerd.

De Sadhuzag:

Maar wend ik mij tot de noordenwind, dan klinkt uit maar horens, die dichter opeenstaan dan een bataljon lansen, een luid gekrijs; de wouden sidderen, de wateren vloeien stroomopwaarts, de vruchten barsten uit hun schil, en het gras gaat recht overeind staan als haren van een lafaard.

- Luister maar!

 

Mensentaal

Antoine la regarde s'enfuir.

Et ses yeux restant levés, il aperçoit tous les oiseaux qui se nourrissent de vent: le Gouith, l'Ahuti, l’Alphalim, le Iukneth des montagnes de Caff, les Homaï des Arabes qui sont les âmes d'hommes assassinés. Il entend les perroquets proférer des paroles humaines, puis les grands palmipèdes pélasgiens qui sanglotent comme des enfants ou ricanent comme de vieilles femmes. Un air salin le frappe aux narines. Une plage maintenant est devant lui.

#

Antonius kijkt hem na.

En nu hij zijn ogen naar boven heeft gericht, ziet hij alle vogels die zich met de winden voeden: de Gouith, de Ahuti, de Alphalim, de Iukneth uit het Kafgebergte, de Arabische Homaï, die de geesten van vermoorde mensen zijn. Hij hoort papegaaien mensentaal uitslaan, en grote Pelasgische zwemvogels snikken als kinderen of lachen als oude vrouwen. Een zilte lucht dringt door zijn neus. Nu strekt zich een strand voor hem uit.

Werkkamer van Flaubert in Croisset, 1874; kunstenaar niet bekend

Kast met Flaubert-memorabilia in Rouen. Op de kast: Loulou. Op de tweede plank van boven, rechts, Callots gravure van de Tentation de Saint Antoine die Flaubert onder ogen had toen hij de novelle schreef. Foto's: HPM

De gravure van Jacques Callot

Merk op dat Flaubert het aantal hoorntjes heeft vermeerderd van 72 naar 74

1876

Correspondance

Vertaling uit Haat is een deugd, door E. Borger; 1979

Over Un coeur simple

Croisset, 19 juin 1876.

A Madame Roger des Genettes.

L' Histoire d'un cœur simple est tout bonnement le récit d'une vie obscure, celle d'une pauvre fille de campagne, dévote mais mystique, dévouée sans exaltation et tendre comme du pain frais. Elle aime successivement un homme, tes enfants de sa maîtresse, un neveu, un vieillard qu'elle soigne, puis son perroquet; quand le perroquet est mort, elle le fait empailler, et en mourant à son tour elle confond le perroquet avec le Saint-Esprit. Cela n'est nullement ironique comme vous le supposez, mais au contraire très sérieux et très triste. Je veux apitoyer, faire pleurer les âmes sensibles, en étant une moi-même. Hélas, oui l'autre samedi, à l'enterrement de George Sand, j'ai éclaté en sanglots, en embrassant la petite Aurore, puis en voyant le cercueil de ma vieille amie.

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Aan Mevrouw Roger de Genettes

De Geschiedenis van een simpele ziel is doodeenvoudig het verhaal van een nederig bestaan, dat van een boerenmeisje dat vroom is, maar niet mystiek, toegewijd zonder exaltatie en teer als een lammetje. Zij houdt achtereenvolgens van een man, van de kinderen van haar meesteres,, van een neef, van een grijsaard die ze verzorgt, en tenslotte van haar papegaai; wanneer de papegaai gestorven is, laat ze hem opzetten en wanneer zij zelf sterft, ziet ze haar papegaai voor de Heilige Geest aan. Het is absoluut niet ironisch zoals u veronderstelt, maaar integendeel heel ernstig en heel verdrietig. Ik wil bij de lezer medelijden opwekken en gevoelige zielen tranen ontlokken, omdat ik zelf een gevoelige ziel ben. Helaas! Ja, afgelopen zaterdag ben ik naar de begrafenis van George Sand, terwijl ik de kleine Aurore omhelsde, in snikken uitgebarsten, en nog een keer toen ik de kist van mijn oude vriendin zag.

 

Een opgezette papegaai

1876

A Madame Roger des Genettes.

Mon second conte Histoire d'un cœur simple sera fini dans quinze jours ou trois semaines. L'idée de vous le lire m'a encouragé pendant tout le temps de mon travail. Vous êtes un si bon auditeur! Vous n'imaginez pas le bien profond que m'ont fait vos yeux pendant que vous écoutiez Saint-Julien. La voilà la vraie gloire!

Cette fois-ci on ne dira plus que je suis inhumain. Loin de là je passerai pour un homme sensible et on aura une plus belle idée de mon caractère. Depuis un mois j'ai sur ma table un perroquet èmpaillé afin de peindre après la nature. Sa présence commence à me fatiguer. N'importe! Je le garde afin de m'emplir l'âme de perroquet. Qu'ai-je encore à vous conter? Rien, sinon des choses anciennes.

 

De papegaai is bijna af

1876

A Guy de Maupassant.

Mon cher ami,

Ah! la bêtise humaine vous exaspère! et elle vous barre jusqu'à l'Océan mais que diriez-vous, jeune homme, si vous aviez mon âge! Dans huit or dix jours, j'aurai fini mon perroquet. Je suis impatient de vous le lire. Tâchez de venir à Croisset avant le commencement de septembre; vous y coucherez.

 

Papegaaien bekijken

Lettre à sa nièce Caroline

Vendredi, 6 heures, juillet 1876.

Mon pauvre Chat,

Demain, j'irai à Rouen pour voir des perroquets empaillés et M. le maire, car la souscription Bouilhet revient sur l'eau.

 

Amazone-papegaai

Lettre à sa nièce Caroline

Croisset, samedi, 6 heures , juillet 1876.

Mardi, j'ai eu à déjeuner Pouchet et Pennetier. II y a huit jours, j'avais été au Muséum lui demander des renseignements sur les perroquets, et actuellement j'écris devant un 

«amazone» qui se tient sur ma table, le bec un peu de côté en me regardant avec ses yeux de verre. Mon intention est de ramener demain M"" Julie.

Voilà tout, pauvre chat. Je continue à travailler ferme. Mon Cœur simple sera fini à ton retour. Jamais je n'ai été curieux de voir l'ensemble d'une de mes œuvres comme cette fois-ci.

Rond de papegaai

Lettre à sa nièce Caroline

Jeudi, 3 heures, 3 août 1876.

Actuellement, j'ai donc sur ma table, autour du perroquet: le bréviaire du susdit chantre, ton paroissien, les quatre volumes du paroissien appartenant à ton époux; de plus: l'Eucologe de Lisieux, ayant appartenu à ton arrière-grand'- mère. Mais je commence à tomber sur les bottes; la fin est dure! Heureusement que je n'ai plus que six pages!

Sans l'eau froide, je n'aurais pas été aussi vigoureux depuis deux mois. Sais-tu que mes nuits ordinaires n'excèdent pas cinq ou six heures, au plus, et je ne dors pas dans le jour. Emile en est esbahi. J'ai peur de retomber à plat quand j'aurai fini.

Mais non! il faudra se remonter le coco pour Hérodias.

 

Nog twee weken

Lettre à sa nièce Caroline

Croisset, lundi, 5 heures, 7 août 1876.

Moi, je continue à hurler comme un gorille dans le silence du cabinet, et même aujourd'hui j'ai dans le dos ou plutôt dans les poumons une douleur qui n'a pas d'autre cause. Et quelque jour je me ferai éclater comme un obus. On retrouvera mes morceaux sur ma table. Mais avant tout il faut finir ma Félicité d'une façon splendide! Dans une quinzaine (ou peut-être avant) ce sera fait.

Quel effort !

 

Publiciteitsfoto van Guy de Maupassant met opdracht voor Flaubert; bron: Albert Thibaudet, Gustave Flaubert, 1935

1876

Correspondance avec George Sand

1992

 

Op werkbezoek

A George Sand

Lundi soir... 1876.

J'ai reçu ce matin votre volume, chère maître. J 'en ai deux ou trois autres que l'on m'a prêtés depuis longtemps; je vais les expédier et je lirai le vôtre à la fin de la semaine, pendant un petit voyage de deux jours que je suis obligé de faire à Pont-l'Evêque et à Honfleur pour mon Histoire d'un cœur simple, bagatelle présentement « sur le chantier », comme dirait M. Prudhomme.

 

Het begin van Un coeur simple

A George Sand, lundi soir

J'ai beaucoup travaillé dans ces derniers temps. Comme je voudrais vous voir pour vous lire ma petite bêtise moyennâgeuse! J'ai commencé un autre conte intitulé « Histoire d'un cœur simple ». Mais j'ai interrompu ce travail pour faire des recherches sur l’époque de Saint Jean-Baptiste, car je veux écrire le festin d'Hérodiade.

J'espère avoir fini mes lectures dans une douzaine de jours, après quoi je m'en retournerai à Croisset d'où je ne bougerai pas jusqu'à l'hiver, — mes longues séances à la bibliothèque m'éreintent. Cruchard est fatigué.

(...)

Vous verrez par mon « histoire d'un cœur simple » où vous reconnaîtrez votre influence immédiate que je ne suis pas si entêté que vous le croyez. Je crois que la tendance morale, ou plutôt le dessous humain de cette petite œuvre vous sera agréable!

Adieu, chère bon maître. Amitiés aux vôtres.

Je vous embrasse bien tendrement.

Votre vieux

Gustave Flaubert

Monsieur Prudhomme: de bekendste creatie van Henry Monnier

1876, 8 juni  George Sand overlijdt
1876

Correspondance avec Maurice Sand

A Maurice Sand

3 octobre 1876

Vous me demandez ce que je fais? Voici: cette année j'ai écrit deux contes, et je vais en commencer un pour faire des trois un volume que je voudrais publier au printemps.

 

*

A Maurice Sand

29 août 1877

J'avais commencé « un cœur simple » à son intention exclusive, uniquement pour lui plaire. Elle est morte, comme j'étais au milieu de mon œuvre. Il en est ainsi de nos rêves.

'Giorgia S.' - George Sand dessiné par Alfred de Musset

1877, voorjaar Start van Un Coeur Simple als feuilleton in Moniteur Universel

De complete Loulou-fragmenten uit Un Coeur Simple

1877, najaar Un Coeur Simple verschijnt in boekvorm samen met Hérodias en La légende de Saint Julien l'hospitalier onder de titel Trois Contes.

1877

Un Coeur Simple

De papegaai en de juni-revolutie

Une nuit, le conducteur de la malleposte annonça dans Pont-l'Evêque la révolution de Juillet. Un sous-préfet nouveau, peu de jours après, fut nommé : le baron de Larsonnière, ex-consul en Amérique, et qui avait chez lui, outre sa femme, sa belle-soeur avec trois demoiselles, assez grandes déjà. On les apercevait sur leur gazon, habillées de blouses flottantes ; elles possédaient un nègre et un perroquet.

Mme Aubain eut leur visite, et ne manqua pas de la rendre. Du plus loin qu'elles paraissaient, Félicité accourait pour la prévenir. Mais une chose était seule capable de l'émouvoir, les lettres de son fils.

De speurtocht van Julian Barnes naar de enige twee echte Loulous

Guy de Maupassant: Hoe Flaubert Un coeur simple schreef

De neger met de papegaai

Ce jour-là, il lui advint un grand bonheur : au moment de dîner, le nègre de Mme de Larsonniere se présenta.tenant le perroquet dans sa cage, avec le bâton, la chaîne et le cadenas. Un billet de la baronne annonçait à Mme Aubain que, son mari étant élevé à une préfecture, ils partaient le soir ; et elle la priait d'accepter cet oiseau, comme un souvenir, et en témoignage de ses respects.

Il occupait depuis longtemps l'imagination de Félicité, car il venait d'Amérique ; et ce mot lui rappelait Victor, si bien qu'elle s'en informait auprès du nègre. Une fois même elle avait dit : «C'est madame qui serait heureuse de l'avoir ! »

Le nègre avait redit le propos à sa maîtresse, qui, ne pouvant l'emmener, s'en débarrassait de cette façon.

 

Loulou

Il s'appelait Loulou. Son corps était vert, le bout de ses ailes rose, son front bleu, et sa gorge dorée.

Illustratie: Adan

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Een eenvoudige ziel

Vertaling: Marie Koenen

1913

#

Hij heette Loulou. Zijn romp was groen, de punt van zijn vleugels roset, zijn kop blauw en zijn borst goudkleurig.

De Loulou-fragmenten uit de vertaling van Marie Koenen

Een eenvoudig hart

Vertaling Hans van Pinxteren

1988

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Hij heette Loulou. Zijn lijf was groen, de tip van zijn vleugels rose, zijn kop blauw en zijn borst goudkleurig.

Minder goede eigenschappen van Loulou

Mais il avait la fatigante manie de mordre son bâton, s'arrachait les plumes, éparpillait ss ordures, répandait l'eau de sa baignoire : Mme Aubain, qu'il ennuyait, le donna pour toujours à Félicité.

Ill.: Fred-Money

Eerste onderricht van Loulou

Elle [Félicité] entreprit de l'instruire ; bientôt répéta :

« Charmant garçon ! Serviteur, monsieur ! Je vous salue, Marie ! »

 

'Je vous salue, Marie!' - Flaubert verwijst naar de woorden die de engel des heren sprak toen hij de maagd Maria boodschapte dat zij de moeder van de Verlosser zou worden. In goed katholiek Nederlands meestal weergegeven als 'Ave Maria'. Een en ander geschiedde overigens onder toeziend oog van de Heilige geest, in de christelijke symboliek altijd weergegeven als een duif. Zie het aansluitende citaat.

Dossier Ave Maria

Dossier De aartsengel en de papegaai

Loulou leert vloeken van de slagersjongen

Loulou avait reçu du garçon boucher une chiquenaude, s'étant permis d'enfoncer là tête dans sa corbeille ; et depuis lors il tâchait toujours de le pincer à travers sa chemise. Fabu menaçait de lui tordre le cou, bien qu'il ne fût pas cruel, malgré le tatouage de ses bras et ses gros favoris. Au contraire ! il avait plutôt du penchant pour le perroquet, jusqu'à vouloir, par humeur joviale, lui apprendre des jurons. Félicité, que ces manières effrayaient, le plaça dans la cuisine. Sa chaînette fut retirée, et il circulait par la maison.

Illustratie: Auguste Leroux Alle afbeeldingen van Leroux voor Un coeur simple op CuBra

Hoe Loulou geplaagd wordt

M. Paul, un jour, eut l'imprudence de lui souffler aux narines la fumée d'un cigare ; une autre fois que Mme Lormeau l'agaçait du bout de son ombrelle, il en happa la virole ; enfin, il se perdit.

Het pesten van papegaaien (en ook apen) met rook en water was in de 19e eeuw een populair motief in de burgerlijke schilderkunst. Voor de meester van dit kleine genre: Chocarne-Moreau

Wanneer Loulou niet wil spreken

Il était placé auprès de la porte, et plusieurs s'étonnaient qu'il ne répondit pas au nom de Jacquot , puisque tous les perroquets s'appellent Jacquot. On le comparait une dinde, à une bûche : autant de coups de poignard pour Félicité ! Etrange obstination de Loulou, ne parlant plus du moment qu'on le regardait !

De papegaai in Alexandre Dumas filsAventures de quatre femmes et d'un perroquet heet wèl Jacquot. Zie de PM-pagina daarover.

Félicité geneest Loulou

Il devint malade, ne pouvait plus parler ni manger. C'était sous sa langue une épaisseur, comme en ont les poules quelquefois. Elle le guérit, en arrachant cette pellicule avec ses ongles.

Julian Barnes: 'Buffon zegt, meer ter zake, dat hij aan epilepsie kan lijden. Flaubert wist van deze broederlijke zwakte af: bij de aantekeningen die hij over papegaaien maakte toen hij zijn research verrichtte voor Un coeur simple is een lijstje van hun ziektes - jicht, epilepsie, spruw en zweren in de keel.'

Meer uit Flauberts papegaai van Julian Barnes.

Een opvallende gelijkenis

A l'église, elle contemplait toujours le Saint-Esprit, et observa qu'il avait quelque chose du perroquet. Sa ressemblance lui parut encore plus manifeste sur une image d'Epinal, représentant le baptême de Notre-Seigneur. Avec ses ailes de pourpre et son corps d'émeraude, c'était vraiment le portrait de Loulou.

L'ayant acheté, elle le suspendit à la place du comte d'Artois, — de sorte que, du même coup d'oeil, elle les voyait ensemble. Ils s'associèrent dans sa pensée, le perroquet se trouvant sanctifié par ce rapport avec le Saint-Esprit, qui devenait plus vivant à ses yeux et intelligible. Le Père, pour s'énoncer, n'avait pu choisir une colombe, puisque ces bêtes-là n'ont pas de voix, mais plutôt un des ancêtres de Loulou. Et Félicité priait en regardant l'image, mais de temps à autre se tournait un peu vers l'oiseau.

Dossier Le Rouge et le Perroquet

De plotselinge dood van Loulou

Un matin du terrible hiver de 1837, qu'elle l'avait mis devant la cheminée, à cause du froid, elle le trouva mort, au milieu de sa cage, la tête en bas, et les ongles dans les fils de fer. Une congestion l'avait tué, sans doute?

Illustratie: Auguste Leroux Alle afbeeldingen van Leroux voor Un coeur simple op CuBra

Félicité verdenkt Fabu van moord

Elle crut à un empoisonnement par le persil ; et, malgré l'absence de toutes preuves, ses soupçons portèrent sur Fabu.

Dode papegaai en peterselie: zie ook Heinrich Heine en De zaak peterselie Papegaai en gif, zie ook: Jacquot van Dumas fils Coco van Henri Murger

Loulou aan het ziekbed van Félicité

Un peu plus tard, elle [ La Simonne ] prit Loulou, et, l'approchant de Félicité :

— Allons ! dites-lui adieu !

Bien qu'il ne fût pas un cadavre, les vers le dévoraient ; une de ses ailes était cassée, l'étoupe lui sortait du ventre. Mais, aveugle à présent, elle le baisa au front et le gardait contre sa joue. La Simonne le reprit, pour le mettre sur le reposoir.

Illustratie: Auguste Leroux Alle afbeeldingen van Leroux voor Un coeur simple op CuBra

Laatste ogenblikken

Une vapeur d'azur monta dans la chambre de Félicité. Elle avança les narines, en la humant avec une sensualité mystique ; puis ferma les paupières. Ses lèvres souriaient. Les mouvements de son coeur se ralentirent un à un, plus vagues chaque fois, plus doux, comme une fontaine s'épuise, comme un écho disparaît ; et, quand elle exhala son dernier souffle, elle crut voir, dans les cieux entr'ouverts, un perroquet gigantesque, planant au-dessus de sa tête.

KLIK hier voor het complete handschrift op www.gallica

Vignet: R. Lelong

1877

Trois Contes: La légende de Saint Julien l’hospitalier

1934

De legende van Sint Julianus den offervaardige

Vertaald door Jan Poortenaar

1988

De legende van de heilige Julianus de gastvrije

Vertaald door Hans van Pinxteren

Ogen

Alors son âme s'affaissa de honte. Un pouvoir supérieur détruisait sa force; et, pour s'en retourner chez lui, il rentra dans la forêt.

Elle était embarrassée de hanes, et il les coupait avec son sabre quand une fouine glissa brusquement entre ses jambes, une panthère fit un bond par-dessus son épaule, un serpent monta en spirale autour d'un frêne. Il y avait dans son feuillage un choucas monstrueux, qui regardait Julien; et, çà et là, parurent entre les branches quantité de larges étincelles, comme si le firmament eût fait pleuvoir dans la forêt toutes ses étoiles. C'étaient des yeux d'animaux, des chats sauvages, des écureuils, des hiboux, des perroquets, des singes.

 

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   Nu kromp zijn hart ineen van schaamte. Een hogere macht deed zijn krachten teniet; hij wilde terug naar huis en liep weer het woud in.

   De doorgang werd hem versperd door lianen; en toen hij ze doorkapte met zijn sabel, glipte er plots een steenmarter tussen zijn benen door, een panter sprong over zijn schouder weg, een slang wond zich omhoog rond een es.

   In het gebladerte zat een reusachtige kauw naar Julianus te kijken; en verspreid tussen de takken blonk een menigte grote vonken op, alsof het firmament al zijn sterren in het woud had uitgestrooid. Het waren de ogen van dieren : boskatten, eekhoorns, uilen, papegaaien, apen.

Uitgave van de Wereldbibliotheek, 1934 - Vertaald, verlucht met houtgravures en gekalligrafeerd door Jan Poortenaar

Houtsnede: Jan Poortenaar

1880, 8 mei Gustave Flaubert overlijdt in Croisset.
1880

Emile Zola

L'Enterrement de Flaubert

La mort de Gustave Flaubert a été pour nous tous un coup de foudre. (...) je lus ces deux mots: «Flaubert mort.» C'était Maupassant qui me télégraphiait ces deux mots, sans explication. Un coup de massue en plein crâne. (...) Jusqu'au mardi, jour des obsèques, il est resté devant moi; il me hantait, la nuit surtout; brusquement, il arrivait au bout de toutes mes pensées, avec l'horreur froide du plus jamais. C'était une stupeur, coupée de révoltes.

 

 

1881

Bouvard et Pécuchet

Eerste uitgave van het onvoltooide Bouvard et Pécuchet. In dit werk komen geen papagaaien voor. Illustraties van Auguste Leroux voor Bouvard et Pécuchet op CuBra
1905

Olivier Jallu - Le procès de madame Bovary

 

 

In 1905 verschijnt op kosten van de Orde van advocaten aan de balie van Parijs een rede van Olivier Jallu. In feite is deze toespraak een juridisch eerherstel voor Flaubert en de roman Madame Bovary. Coll. HPM

1926

Souvenirs intimes de Caroline Commanville, la nièce de Gustave Flaubert

 

C'est à Trouville aussi qu'il connut l'éditeur de musique Maurice Schlesinger et sa femme. Plusieurs figures originales étaient restées gravées dans sa mémoire de ses séjours au bord de la mer, entre autres celle d'un vieux marin, le capitaine Barbet, et de sa fille la Barbette, petite bossue criant toujours contre ses marmots; celle encore du docteur Billard, du père Couillère, maire de la commune et chez lequel on faisait des repas qui duraient six heures.

En écrivant Un cœur simple il s'est rappelé ces années -là. Mme Aubin, ses deux enfants, la maison où elle demeure, tous les détails si vrais, si sentis de cette simple histoire, sont d'une exactitude frappante. Mme Aubin était une tante de ma grand'mère; Félicité et son perroquet ont vécu. Dans les dernières années mon oncle avait un charme extrême à revivre sa jeunesse. Il a écrit Un cœur simple après la mort de sa mère. Peindre la ville où elle était née, le foyer où elle avait joué, ses cousins, compagnons de son enfance, c'était la retrouver, et cette douceur a contribue à faire sortir de sa plume ses plus touchantes pages, celles peut-être où il a laissé le plus deviner l'homme sous l'écrivain. Qu'on se rappelle seulement cette scène entre Mme Aubin et sa servante quand elles rangent ensemble les menus objets ayant appartenu à Virginie. Un grand chapeau de paille noire que portait ma grand'mère éveillait en mon oncle une émotion semblable; il prenait au clou la relique, la considérait en silence, ses yeux s'humectaient et respectueusement il la replaçait.

Caroline Hamard, later Caroline Commanville - foto die Flaubert in zijn werkkamer had; bron: Albert Thibaudet, Gustave Flaubert, 1935

Dodenmasker van de moeder van Flaubert; bron: Albert Thibaudet, Gustave Flaubert, 1935


 

Standbeeld van Gustave Flaubert in Rouen; foto HPM

 

Flaubert-monument in Rouen

 

Karikatuur van Flaubert en Madame Bovary door A. Lernot... Un coeur compliqué