1859,
maart
Chanson
du fol |
Na de papegaai
Vivent
les castagnettes!
Tac!
tac! tac! les clochettes,
Les
boléros!
Per
el rey, quand je danse,
Plus
que la diligence
Et
ses grelots,
Je
sonne! - Par la ville
Aux
doux soirs de Séville
Dig!
il n'est pas
De
nain qui plus lutine
Que
le fou de Rosine
Ha!
ha! ha! ha!
Dig!
après la perruche
Qui
sur son doigt se juche,
Son
favori
C'est
moi, qui toujours saute
Chante,
bois, et ressaute,
Qui
toujours ris!
Je
n'atteins pas l'oreille
Du
grand chien noir qui veille
La
nuit, Pepo!
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HPM
ZOEKT
De
tekst van Le tombeau d'Anatole |
Tombeau
d'Anatole
...
wrote to Robert de Montesquiou, a recently made friend who
had formed
a
special attachment to Anatole, to
thank him for sending the child a parrot.
...
Tale
speaks of you, and even amuses himself in the morning by fondly
Imitating
Your voice. The parrot, whose
aurosal belly seems to catch fire with a whole...
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Count Robert de Montesquiou door
Giovanni Boldini (1842-1931); 1897
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1888
Publicatie
van de vertaling van gedichten van Poe. |
Romance
Romance,
who loves to nod and sing,
With
drowsy head and folded wing,
Among
the green leaves as they shake
Far
down within some shadowy lake,
To
me a painted paroquet
Hath
been -- a most familiar bird --
Taught
me my alphabet to say --
To
lisp my very earliest word
While
in the wild wood I did lie,
A
child -- with a most knowing eye.
Of
late, eternal Condor years
So
shake the very Heaven on high
With
tumult as they thunder by,
I
have no time for idle cares
Through
gazing on the unquiet sky.
And
when an hour with calmer wings
Its
down upon my spirit flings --
That
little time with lyre and rhyme
To
while away -- forbidden things!
My
heart would feel to be a crime
Unless
it trembled with the strings.
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La
Romance
La
Romance, qui se plaît à saluer et à chanter, l'aile ployée,
parmi les feuilles vertes secoués au loin dans quelque lac ombreux,
a été pour moi un perroquet colorié
- oiseau fort familier ; - m'a montré l'alphabet, et à balbutier
mes toutes premières paroles quand j'étais dans le bois farouche,
enfant à l'oeil sagace.
Condors
(maintenant) des ans éternels ébranlent à ce point les hauteurs
de l'air avec un tumulté de foudre, que je n'ai plus de temps pour
des soins ardents, les yeux fixes sur l'inquiet ciel. Et quand une
heure aux ailes plus calmes étend sa plume sur mon esprit - passer
ce peu de temps avec la lyre et le rythme (choses défendues !) mon
coeur s'en ferait un crime, à moins qu'il n'ait frémi à l'unisson
des cordes.
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