Parijs
- 19e eeuw 
Henry Monnier (1799-1877)
Gresset in de literatuur
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CuBra |
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| 1799, 6 juni |
Henry (ook wel: Henri) Bonaventure Monnier geboren in Parijs |
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| 1857
Mémoires de Monsieur Joseph Prudhomme |
De legendarische man met de papegaai Puis venait l'Esprit, escamoteur de son métier, le propagateur de la poudre persane, le rival de monsieur Miette. « O mon père! s'écriait l'Esprit, regarde tous ces badauds qui m'entourent; pas un ne m'achètera une boîte de poudre persane, et pourtant ils savent bien que je ne vis pas de l'air! » Le propagateur de la poudre persane ne perdait pas une occasion d'invoquer le nom paternel; il mettait son père à toutes les sauces. A quelques pas plus loin, longeant timidement les arbres du boulevard, l'air mélancolique et souffrant, on rencontrait l'homme à la perruche. C'était, racontait-on alors, un homme qui avait joui d'une grande fortune et d'une grande position. Il se nommait le marquis de R... et descendait d'une ancienne famille depuis longtemps établie à l'île Bourbon. |
Henry Monnier in de rol
van Joseph Prudhomme; door Henry Monnier
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| 1889
Henry Monnier Sa Vie, son oeuvre; Champfleury |
« Hier, écrit Monnier, nous avons donné notre -première représentation. J'ai eu une peur atroce, dont le public a bien voulu ne pas s'apercevoir, puisque j'ai été reçu à merveille... Ma femme a terminé le spectacle par la Fille de Dominique ; la pauvre enfant n'a eu son costume de tambour qu'en entrant en scène; enfin, elle l'a eu. » A suivre les tourmentes que font éprouver les tailleurs de théâtre parisiens pour la livraison de la garde-robe scénique, et surtout à écouter les malédictions qu'appelle Henry Monnier sur leur tête, il est permis de supposer qu'au départ de Paris les deux époux n'étaient pas riches, et que leurs fonds les plus solides étaient basés sur le succès des représentations en province. « Adieu, mon bon Ferville, écrit Henry Monnier, j'augure bien de mon départ de Paris. J'espère que l'année qui va s'ouvrir sera plus heureuse pour nos deux ménages. » Le répertoire du mari et de la femme était peu nombreux : Madame Gibou, la Famille improvisée, le Contrebandier pour Henry Monnier, Vert-Vert et quelques pièces de la Déjazet pour la jeune femme. |
Caroline Linsel (Mme Henry Monnier) 1837 - potloodtekening door Henry Monnier |
| 1931
Henry Monnier Aristide Marie Citaat uit Mémorial de l'Allier, 7 maart 1837 |
Rentré à Paris, au début de 1837, il est reparti avec Mme Monnier et tous deux pérégrinent encore quelque peu sur le chariot de Thespis. On les voit ainsi donner à Moulins, pendant trois semaines, une série de représentations. Le spectacle du 5 mars fait l'objet, dans le Mémorial de l'Allier, de l'article que voici : « Ce soir-là, le père de « M. Prudhomme » et de « Mme Gibou », l'écrivain et caricaturiste célèbre, Henry Monnier, fait applaudir par les Moulinais le Cousin de l'héritière, l'une des plus amusantes pochades dont il est à la fois l'auteur et l'interprète, Vert- Vert ou le Perroquet du Couvent, le Duel, le Déjeuner ou les Comédiens joués. Monnier, qui fut aussi un acteur à succès, donna, en ce mois de mars, sept représentations. Sa femme, qui ne l'a pas encore quitté pour courir sur les hasards du Roman comique, sa femme et lui se sont fait une commune spécialité de se produire dans la même pièce, en cinq ou six rôles différents : c'est ainsi qu'Henry Monnier jouera, dans un seul acte, un jeune coquebin, un vieux fat, le pontifiant Joseph Prudhomme lui-même, une désopilante portière, un paysan matois, etc... »
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Henry Monnier door André Gill
Henry Monnier door Nadar
Henry Monnier als Monsieur Prudhomme - foto: Nadar |
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