Parijs - 19e eeuw Gérard de Nerval Jenny Colon (? - 1842)

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183?

Denis Boissier, Dictionnaire des anecdotes littéraires, 1995

Jenny Colon, cantatrice

Ayant hérité de la fortune de son grand-père, il fonda la revue Le Monde dramatique qui fit faillite à force d'encenser Jenny Colon, une cantatrice dont il était amoureux. Il adressa alors à sa bien-aimée des lettres passionnées qu'il n'osera pas toutes envoyer, et qui constitueront en 1842 le matériau pour un « un roman à faire » qu'il n'entreprendra jamais.

1836

Denis Boissier, Dictionnaire des anecdotes littéraires, 1995

Nerval en Dumas père

Il écrivit comme « nègre » d'Alexandre Dumas les pièces Piquillo (1836), Caligula (1837) L' Alchimiste (1837) et Léo Burckart (1839). Il présenta à Dumas Auguste Maquet, professeur passionné d'histoire, qui deviendra sa « seconde main » : Maquet et Nerval écriront ensemble Le Roi de Bicêtre et Emilie, parus sous le nom de Dumas.

1836 Het kostuum van Jenny Colon in Piquillo / bron: www.gallica

 

Denis Boissier, Dictionnaire des anecdotes littéraires, 1995 Afgewezen door Jenny Colon - begin van Nervals ziekte

Après que Jenny Colon lui avoua lui préférer un flûtiste organisateur de tournées théâtrales, Nerval, à une terrasse de café, eût soudain la vision d'un être céleste et entendit une voix l'appeler. Il s'élança et tomba, heureusement indemne, sur le sol. Une autre fois, sous le prétexte que « les Lapons ne sont jamais malades », il sortit légèrement vêtu par moins dix-huit degrés. C'était le début de sa « folie ».

Denis Boissier, Dictionnaire des anecdotes littéraires, 1995 Théophile Gautier boos op Jenny Colon

Critiquée par Théophile Gautier qui lui reprochait d'avoir rendu Nerval malheureux jusqu'à la folie, Jenny Colon se défendit : « Je l'ai vu une seule fois, lorsqu'il est venu m'offrir d'écrire pour moi un opéra, La Reine de Saba, dont Meyerbeer devait faire la musique. [...] Ne m'accusez pas de l'avoir fait souffrir : quand celui qui aime est muet, celle qui est aimée est sourde. »

Meyerbeer & Dumas fils
1842

Denis Boissier, Dictionnaire des anecdotes littéraires, 1995

Dood van Jenny Colon

Jenny Colon morte en juin 1842, le poète s'embarqua le 1er janvier 1843 pour l'Orient, ivre certes de chagrin, mais aussi d'amour pour la fille du cheikh Saïd-Escherazy, chef de la secte des Druzes du Liban, aperçue dans une maison de rendez-vous parisienne et qu'il souhaitait épouser. Mais une fièvre attrapée dans le Hauran (montagne où vivait le patriarche) l'obligea à regagner la France et le mariage ne se fit pas.


1896

Intermédiaire des chercheurs et des curieux; kolom 680

Mededeling van 'Nauroy'

Jenny Colon in een kooi

Sur Jenny Colon, que Gérard a aimée d'une façon si étrange, on peut consulter le Curieux (I, 46, 314) : On répète au Vaudeville... Les Femmes volantes. Mlle Colon... doit jouer une partie de son rôle dans une cage (La Mésangère, Journal des Dames, du 31 août 1823).

1823

Libretto van Les femmes volantes door Achille D'Artois

Google Books

Achille & Armand Dartois (D'artois)