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1819,
10 juni |
Gustave Courbet geboren in Ornans
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1839, herfst |
Courbet krijgt toestemming van zijn vader om in
Parijs te gaan wonen. Hij raakt bevriend met o. a.
Charles Baudelaire, Champfleury, en
Pierre-Joseph Proudhon. |
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1861
Femme au
perroquet #1 |
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Olieverf op doek, 61 x 44cm.
Paris, Collection Alfred Daber |
1863 (circa)
Venus en Psyche #1 |
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Voorstudie voor Venus et Psyche (olieverf op
doek, 81.7 x 65.8 cm) Birmingham Museum and Art Gallery
Mythe: de stervelinge Psyche was zo mooi
dat zelfs de godin Venus jaloers op haar wordt. |
1864
Venus en Psyche
#2 |
Schildert Venus et Psyche, voor
de Salon van 1864. Het schilderij is verloren gegaan. |
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1864, 3 maart
Venus en Psyche #3 & #4 |
Courbet aan Etienne Haro:
Le tableau représente deux femmes nues grandes comme
nature. Le sujet est peu de chose, si l’on voulait mettre un titre
ambitieux à ce tableau, ça pourrait être V énus
poursuivant Psyché
de sa jalousie. Ce que je vous dit là
n’est que pour vous donner une idée de la composition du tableau car,
jusqu’ici j’ai résolu de l’intituler Etude de Femmes dans le
livret d’exposition.
Courbet, aan Proudhon:
There are two nude women painted life-size in an
entirely new style – for me.
Werk wordt niet toegelaten voor de Salon: indecent,
lesbisch.
Courbet aan kunsthandelaar Jules Luquet :
« C’est un parti pris de l’administration, car, si ce
tableau est immoral, il faut fermer tous les musées d’Italie, de
France et d’Espagne ».
Het werk wordt voor het eerst getoond in Brussel.
Het schilderij bestaat nog slechts in de vorm van een
reproductie: monochrome photogravure, afgedrukt in: Une
étude sur Courbet
van Léonce Bénédite, uit 1911.

Venus en Psyche
# 3. Maakt een replica, waarbij de
papegaai werd weggelaten. (Kunst Museum, Bern, ook Le Reveil
genoemd.

Mogelijk is dit een eerdere versie, en is die met de
kaketoe dus de uiteindelijke versie.
Venus en Psyche
# 4, Another study of a recumbent
Psyche is in the Daber Collection, Paris
(internetbron)
Werk is niet bekend in het Papegaaienmuseum.
Over deze drie (vier) werken:
Welke figuur stelt Venus voor, en welke Psyche?
Volgens de iconografische traditie is Venus blond.
Dan zou Venus slapen, en kan ze geen acute bedreiging vormen voor
Psyche. Psyche zou dan dus de slaapster moeten zijn…
Als Venus met een vogel afgebeeld wordt, is dat met
een duif. De kaketoe strookt noch met de vertelling van Apuleius,
noch met die van La Fontaine, die Apuleius volgt. Het attribuut van
Psyche was bovendien een vlinder.
Het slot van La Fontaine zou echter een sleutel
kunnen bieden:
"Vénus, jetant les yeux sur Psyché, ne sentit pas
tout le plaisir et la joie que sa jalousie lui avait promis. Un
mouvement de compassion l'empêcha de jouir de sa vengeance et de la
victoire qu'elle remportent; si bien que, passant d'une extrémité en
une autre, à la manière des femmes, elle se mit à pleurer, releva
elle-même notre héroïne, puis l'embrassa: Je me rends, dit-elle,
Psyché; oubliez le mal que je vous ai fait. Si c'est effacer les
sujets de haine que vous avez contre moi, et vous faire une
satisfaction assez grande que de vous recevoir pour ma fille, je
veux bien que vous la soyez. Montrez-vous meilleure que Vénus, aussi
bien que vous êtes déjà plus belle; ne soyez pas si vindicative que
je l'ai été, et allez changer d'habit. Toutefois, ajouta-t-elle,
vous avez besoin de repos. Puis se tournant vers les Grâces:
Mettez-la au bain qu'on a préparé pour moi, et faites-la reposer
ensuite; je l'irai voir en son lit.
La Déesse n'y manqua pas, et voulut que notre héroïne
couchât avec elle cette nuit-là ; non pour l'ôter à son fils : mais
on résolut de célébrer un nouvel hymen, et d'attendre que notre
Belle eût repris son teint. Vénus consentit qu'il lui fût rendu ;
même qu'un brevet de Déesse lui fût donné, si tout cela se pouvait
obtenir de Jupiter."
(Jean de la Fontaine,
Les amours de
Psyché et Cupidon (1669)

Respectievelijk Voorstudie, werk in Bern, verloren
werk: Courbet zoekt naar een attribuut voor Venus.
Het verdwenen werk, slechts bekend als monochrome
photogravure
Over de verdwijning bestaan twee theoriën.
Theorie 1
Was pirated from the vaults of the Victoria Insurance
Company in Berlin, for Hitler's private viewing in his bunker under
the Chancellery. Hitler became Psyche in the picture, bent over
venus, making real his fantasies of his role as conquering hero,
lover, and as master painter creating flesh of paint..…
How could the undisciplined bodies of the women
engaged in their own pleasures in Courbet's lesbian love scenes lie
quietly under Hitler's rigid Aryan body?
The paintings variously titled "Venus and Psyche",
"Psyche Pursuing Venus", and "The Awakening", were painted in 1864.
These depictions of female desire, imagined by the male painter, are
central to Courbet's efforts to subvert the ideal image of the
body. By commission and execution they are celebrations of female
sexuality, and represent a kind of pornographic possession, by a
painter determined to penetrate the veil of classical mythology to
present the body as his own earthly life. The pleasures of the
painted flesh and the pleasures of private possession are doubled in
these painted bodies. They compel me to look. Their size, sensuality
and composition fill the eye and the mind. They frustrate any
illusion of distance and objectivity. The palpable skin of
paint, bearing traces of his hand, their human weight spills to the
front of the composition surely exceeding the control sanctioned by
the Nationalist Socialist Party. Their histories of commission and
use, as partners for the private bodies of men must have tormented
the official bodies charged with controlling the sights available to
German eyes and minds. But to Hitler, alone. Were they a source of
pleasure due to the worthy warrior? (internetbron)
Theorie 2
Was owned by the collector Gerstenberg and bequeathed
to his daughter. It was destroyed by fire in Berlin at the end of
the war… (internetbron) |

Foto:
Nadar |
1866
FEMME AU PERROQUET #2 |
Courbet werkt aan
Femme au Perroquet
Voorstudie. 60x73,2cm privé collectie.

Femme au perroquet (Olieverf op
doek, 129.5 x 195.6 cm) New York, Metropolitan.
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Tekening:
Charles
Baudelaire

Charles Baudelaire door Gustave
Courbet |
1866, 1 mei
Femme au
perroquet
geëxposeerd: Exposition de peinture, le Salon d’honneur, Paris |
Kritieken tijdgenoten:
Emile Zola ( L'Evénement,
15 mai 1866)
Je ne
nie point que
La Femme au
perroquet
ne soit une solide peinture, très travaillée et très nette; je ne
nie point que La Remise des chevreuils n'ait un grand charme,
beaucoup de vie; mais il manque à ces toiles le je ne sais quoi de
puissant et de voulu qui est Courbet tout entier. Il y a douceur et
sourire. Courbet, pour l'écraser d'un mot, a fait du joli!
On
parle de la grande médaille. Si j'étais Courbet, je ne voudrais pas,
pour La Femme au perroquet, d'une récompense suprême qu'on a refusée
à La Curée et aux Casseurs de pierres. J'exigerais qu'il fût bien
dit qu'on m'accepte dans mon génie et non dans mes gentillesses. Il
y aurait pour moi je ne sais quelle pensée triste dans cette
consécration donnée à deux de mes oeuvres que je ne reconnaîtrais
pas comme les filles saines et fortes de mon esprit."
Jules-Antoine
Castagnary
(La Liberté
5/13 mai 1866)
La Femme au
perroquet
a des défauts qui proviennent de ce que l'artiste a manqué de temps:
quelques jours ou quelques heures. La jambe allongée ne s'articule
pas visiblement, et l'extrémité en est sèche; la chevelure est trop
symétriquement répandue en éventail. Mais quelle qualité supérieure
de conception et de peinture! Comme dans la hiérarchie artistique
elle occupe un rang plus élevé! Et puis, quelle chair! quel bras,
quel torse, quel ventre! Jamais ton plus juste ne s'allia à un
modelé plus serré. Regardez-moi ce bras en l'air: comme
l'at-mosphère qui le baigne en noie gracieusement les con-tours!
Regardez-moi cette main sur la cuisse: mignonne, coquette, posée
avec une grâce charmante, dessinée avec un art parfait, on revient
pour la voir: l'objet est petit, l'art est immense. Et cet accord
merveilleux entre le personnage et les accessoires? cette robe
grenat recouverte de noires dentelles? ce jupon blanc? cette
dra-perie du fond si harmonieuse avec ses tons éteints? Pas une
fausse note dans tout cet ensemble, pas un ton criard. Rien que de
charmant et d'exquis. Si vous avez la fièvre du Salon, si vos yeux
saignent pour avoir trop vu, c'est devant cette toile qu'il faut
venir vous reposer. Quand a-t-on peint comme cela en France? A quel
art cet art n'est-il point égal? La grande Renaissance elle-même,
que dirait-elle d'un pareil morceau ? Quant à moi, j'ai vu la Femme
au perroquet de Courbet; je voudrais revoir, pour en faire
comparaison, les
Deux femmes nues
que Titien, ce grand peintre de femmes, a exécutées pour le duc
d'Urbin, et qui sont l'orgueil de la Tribune de Florence!
Charles Blanc
(internet; oorspronkelijke tekst zoeken, plus bron):
So far from being
dull, cold generalisation, La Femme au Perroquet she has a proper
name, and is certainly Pamela or Theresa... However, exept for the
head in which there is some truth, though she has snakes for hair,
like the Medusa of the Institutes, the woman’s body rings hollow. It
is drawn, put together, and posed without the slightest regard for
the laws of anatomy. The right arm has no wrist; the right hip,
under the officious piece of stuff which partly covers it, is not
joined to the body where it ought to be... Does a man need to be,
and to boast of being, a realist to paint swollen flesh and tricky
effects when you are pretending to paint a compact, palpable and
positive body?
François
Bonvin (internet; oorspronkelijke tekst zoeken, plus bron):
... game of bluff... |

Courbet door
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1866
R. Cousin: Journal des arts 24
mai |
L'art chinois n'a pas encore su apprécier les beautés
du nu. Les grâces de la ligne serpentine lui échappent.
Dans la visite que les ambassadeurs chinois firent
dernièrement à l'Exposition, l'interprète qui les accompagne
cherchait à fixer l'attention de JL Ping-Tchou sur la Femme au
perroquet, de Courbet.
— Ce n'est pas là une beauté de paravent, n'est-il
pas vrai? disait l'interprète.
— Pardon, répondit M. Ping, c'est une beauté à mettre
derrière un paravent.
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1867
Femme au perroquet
geëxposeerd op privé tentoonstelling |
Goncourt’s: Journal
des Goncourt
18 sept. 1867
Rien, rien, et rien, dans cette exposition de
Courbet. A peine deux ciels de mer... Hors de là, chose pipiquante,
chez ce maîstre du réalisme, rien de l’étude de la nature. Le corps
de sa Femme au perroquet est aussi loin du vrai du nu, que n’importe
quelle académie du XVIIIe siècle.
Puis le laid, toujours le laid, et le laid bourgeois,
le laid sans son grand caractère, sans la beauté du laid. |
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1869
Femme au perroquet
geëxposeerd München |
R.
Braungart,
Münchner
Zeitung:
(...)
von diesem Bild had vor einige Tagen ein Münchner
Kunstschriftsteller, der bei vieles hohes Ansehen genießt, behauptet,
es sei vielleicht das wunderbarste Werk moderner Malerei, das seit
Jahren in München gesehen worden ist. Diese Ungeheuerlichkeit kan
und darf nicht unwidersprochen bleiben, denn wenn man auch den
Papagei einiger pikant gemalter Stellen wegen noch hingehen lassen
will, so ist dafür die Frau ein so scheußliches Stück Malerei, wie
es nur jemand zustande bringen kann, der von allen guten Geistern
des Geschmackes verlassen ist. Der Himmel verhüte, daß so etwas
Schule machen könnte!
Latere kritieken (na de dood van Courbet):
Cte. H. d'Ideville.
Gustave
Courbet, notes et documents sur sa vie et son oeuvre
1878
La Femme au perroquet
n'est pas une coureuse mythologique qui, sans voile, arrête les
satyres au coin des bois de l'Arcadie. C'est une femme moderne, et,
si vous voulez, une courtisane; on dit qu'il y en a plusieurs à
Paris. Elle se couche, rideaux fermés, et elle joue avec son oiseau
couleur d'herbe fraîche. Les forts esthéticiens de là critique
vantent le nu avec raison, disant que le soleil fait bien sur la
peau, et qu'Eve est plus belle que toutes les patriciennes de Venise
avec leurs costumes de brocart et leurs joailleries: La femme de
Courbet n'a point d'ornements superflus, pas la moindre bague aux
doigts des pieds, pas un ruban dans les cheveux. Simple nature comme
dans le paradis terrestre, mais après avoir dépouillé l'attirail de
la civilisation.
Joris-Karl
Huysmans:
L’art
moderne, l’exposition des indépendants (1880)
(…) Courbet, dont la
Femme au perroquet est aussi peu vraie, comme ordonnance et comme
chair, que la Femme couchée de Lefebre ou la Vénus à la crème de
Cabanel. Le Courbet est durement peint avec un couteau du temps de
Louis-Philippe, tandis que les charnures des autres plus modernes
vacillent comme des plats entamés de tôt-faits; c'est, au demeurant,
la seule différence qui existé entre ces peintures, Courbet n'aurait
pas placé au pied du lit, une moderne crinolline, que sa femme
aurait tort bien pu prendre le titre de naïade ou de nymphe; c'est
par une simple surpercherie de détail que cette femme a été
considéré comme une femme moderne.
Joris-Karl Huysmans:
L’Artiste,
15 novembre 1878
Mais c’est bien le
contraire dont nous nous plaignons, mordieu! La femme de M. Lefebvre
est cotonneuse, blette. Elle a du son dans le bas-ventre. Elle n’a
jamais pu être ni nue ni déshabilléee puisqu’elle n’existe pas — en
tant que femme! — et puis que signifient ces mots de déshabillé et
de nu? il n’y a pas de femme nues, sinon à certains moments et dans
certains métiers. La Femme au perroquet de
Courbet est magnifique, parce que tout à l’heure elle pourra
remettre ses bottines, ses jupes! parce qu’elle vit! Je défie enfin
que l’on me désigne une femme nue de Rembrandt qui ne soit une femme
dévêtue et qui ne se rhabillera pas, lorsque le motif qui lui a fait
enlever sa chemise, aura disparu!
A. Estignard:
Courbet, sa vie, ses
oeuvres
(1896)
La Femme au Perroquet
provoqua plus de discussions. Plusieurs fois Courbet s'était essayé
dans la peinture des formes nues, notamment dans la
Dormeuse, de
1847, dans le modèle de
L’Atelier du peintre,
dans
les Baigneuses;
mais cette fois l'artiste, abandonnant les tons bistres, les bruns
surchauffés, peignait plus clair. Le fond du tableau était dans une
gamme d'un vert foncé. La femme se détachait bien sur ces vigueurs.
Rien de criard, pas de fausse note. Tout était en harmonie.
L'œuvre attestait de
plus, sinon du goût, du moins du métier, une extrême facilité dans
l'exécution. L'artiste s'y montrait toujours réaliste; certains
portraitistes s'attachent à faire luire la flamme de la pensée, à
faire transparaître la physionomie morale sous les traits du visage,
à montrer le reflet de l'âme à travers le corps. Ici, Courbet avait
peint une bacchante, une courtisane amoureuse, couchée sur le dos,
la tête renversée et la chevelure ondoyante.
La critique ne put
reprocher à Tartiste que de légères incorrections de dessin. Elle
prétendit, non sans raison, que la jambe allongée ne s'articulait
pas visiblement et que l'extrémité en était trop sèche, que la
chevelure était trop symétriquement répandue en éventail, mais elle
dut rendre hommage à la justesse des tons, à l'habileté du maître. |
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1877,
31 december |
Gustave Courbet overlijdt in La Tour de
Peilz (Zwitserland)
|
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1906, 22 december |
De vrouw van Cézanne vindt na diens dood een
portefeuille in zijn binnenzak. Daarin treft zij een gesleten
afbeelding van Courbets
Femme au Perroquet aan.
Een ooggetuige - op dit moment van schrijven anoniem,
en spoorloos verdwenen in het Papegaaienmuseum - stelt Cézanne op
straat gezien te hebben. Hij zag hem stoppen, zag dat hij zijn
portefeuille te voorschijn haalde, deze opensloeg, zijn hoed afnam,
en wegzonk in gedachten.
|
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1906
Joséphin Péladan:
Réfutation esthétique de Taine
|
Des
Vénus
de Titien, à la Tribune de Florence, à la
Maja
de Goya, à là
Rêcamier
de Gérard, à la
Femme au
perroquet
de Courbet, il n'y a que dès différences de vision, sur un objet, le
corps de la femme. A Venise, à Madrid, à Paris, au xvie comme au
xixe siècle, l'artiste a aimé et oeuvré, dans un état d'âme
identique, et s'est proposé un but semblable dans la représentation
de la femme nue. Aucune révolution, aucune catastrophe historique ne
modifie l'état de concupiscence, ni sa transposition picturale. |
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1918
Théodore Duret:
Courbet |
La Femme au perroquet était
une femme nue, les cheveux épars, couchée sur des draperies, tenant
un perroquet sur la main du bras gauche étendu. L'exécution élégante
dans sa force était du même ordre que celle des femmes du Réveil,
envoyé au Salon l'année précédente, mais comme le Réveil,
rejeté par mesure administrative, n'avait pas été vu la Femme au
perroquet arrivait avec son charme comme une surprise.
Ceux qui persistaient à faire de Courbet le
représentant d'un art grossier, designé sous le litre de réalisme,
se trouvaient décontenancés. La sveltesse de cette femme, l'éclat,
la fraîcheur de sa chair ne pouvaient manquer quoi qu'on en eut de
séduire. |
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Hedendaags |
Jack Lindsay, Courbet, his life and art
(1973):
Castagnary’s MS has the following explanation: the
woman is the of the Virgin’s conception by the Devil, where in place
of the Spirit in Doveform, it is Beastliness (Bêtise) that descends
in Parrot form. It’s for this idiot of the family of parrots (grimpeurs),
strong of beak and rich in plumage, that the infatuated girl has
undone her optulent hair, delivered up all her charms, reserved her
smile and caresses. Certainly here as in Venus-Psyche Courbet is
consciously entering the Baudelairean world of femmes damnées; and,
judged by his Proudhonian side, the girl has handed herself over to
the forces of evil in her idle sensuality. But, as we have seen, the
side of him that is sympathetic is revelling in her softness and
abandonment; the bird is the
symbol of sheer
sensuality. Girl and Bird are only a variant of Venus and Psyche, a
Lesbian image or an onanistic one.
Anoniem, internetbron
A naked wild-haired woman is in the midst of a
reverie. Head twisted backwards with the hint of a toothy smile, her
luminescent white flesh and twisted sheet make her seem to float
above the deep, lush landscape where, dream-like, her bed lies.
Perched on an outstretched hand is her pet parrot, its colorful
wings outstretched. A brilliant flowing composition, the painting
presents what might be an
allegory of masturbation.
Frances Dickey: Parrot's Eye: A Portrait by
Manet and Two by T. S. Eliot in: Twentieth-Century Literature
52.2 (Summer 2006): 1-34
(...) seems to treat the parrot as a stand-in for an
erotic
companion.
Jean Sorabella
(...) Courbet earned bitter criticism for portraying
in his Woman with a Parrot a
naked prostitute
without vestige of goddess or nymph.
Catherine Schaller, 2004
(Conférence donnée au colloque Art et Crime de
l’Université de Fribourg)
Avec la Femme au perroquet, toile travaillée
pour être couronnée de succès au Salon. La stratégie de Courbet est
différente et son choix semble manifeste. Il en fait part d’ailleurs
à ses amis en la mentionnant comme d’une académie. Il peint une
femme nue allongée, dont la main sert de perchoir à un perroquet,
animal dont on sait qu’il était chez les Grecs, considéré comme un
élément fondamental du débat concernant la spécificité du langage.
Courbet réaffirme ‘son tout est dit’. Pourtant un détail appelle le
regard, c’est une draperie, un jupon ou une crinoline peut-être. Des
détails réalistes et donc superflus qui choquent le bon goût
académique. Cette pièce de tissu intime redit ce que disait la
Baigneuse,
Courbet peint des femmes
déshabillées, c’est-à-dire des prostituées.
L’acceptation progressive de ces images et leur diffusion modifient
les perceptions visuelles. Mais il n’en reste pas moins qu’une
certaine catégorie de détail continue à engendrer les refus des
jurys.
Anoniem, bij veiling 2007 van de Voorstudie:
Courbet brought in a colourful parrot, the kind of
exotic pet associated with
wealthy courtesans or
women very much of this world…
Wie
‘stond’ model voor Femme au Perroquet #2?
   
1. Jo Hiffernan
Anoniem, bij veiling Sotheby 2007 van de
Voorstudie:
Femme nue was almost
certainly modeled for Courbet by
Jo Hiffernan,
a young Irish girl who was the model and mistress of the
English-American artist Whistler, and whose beauty Courbet greatly
admired. Courbet met Jo in Whistler's company in Paris in the early
1860s; and during the autumn of 1865 all three were together for
several weeks in Trouville. Courbet was outspoken in his admiration
for Jo and for her thick, wavy and lustrous red hair. During the
Trouville visit, he painted Jo, la belle irlandaise, one of
his most beautiful genre-portraits as well as one of his own
favourite paintings. Femme nue might very well have been
posed by Jo at the same moment, with or without the then-unfinished
Femme au perroquet in the back of Courbet's mind. It seems
more likely, however, that Courbet painted the present work when Jo
visited Courbet alone in Paris later in the year when Whistler was
travelling abroad. Such a rendez-vous, very likely clandestine, gave
Courbet further reason to veil the sitter’s identity.

Courbet: Jo, la belle irlandaise, 1865

Whistler, Symphony in White no. 1 1862 (detail)
* (…)
the real shocker came when she started modeling for Whistler’s
friend, French painter Gustave Courbet. Whistler and Courbet had a
falling out, likely because Hiffernan and Courbet were having an
affair at the time of the four paintings she modeled for him. This
would make sense, since it is strongly believed that Hiffernan is
the model for Courbet’s controversial L’Origine du monde.

L’Origine du monde 1866
2. Solange Clésinger, née Dudevant
Jack Lindsay, Courbet, his life and art
(1973):
The model may be
Solange Dudevant,
George Sand’s daughter, who at this moment had been seperated from
her husband, the sculptor Clésinger, for some five years.


Solange
Dudevant, 1860
De papegaai

Zowel Femme au perroquet #1 als #2 tonen een
Amazona aestiva, een Blauwvoorhoofd amazone papegaai.
Naar alle waarschijnlijkheid zelfs hetzelfde exemplaar, naar het
leven geschilderd. Wanneer de datering van #1 juist is - 1861- , die
van #2 is onmiskenbaar - 1866 - zou het wel eens zo kunnen zijn dat
het hier gaat om Courbets eigen papegaai. En dat hij graag aan
vrouwenvingers knabbelt, laten beide schilderijen zien.
De hier
afgebeelde papegaai is van dezelfde soort als Loulou in Flaubert’s
Un Coeur Simple. (1876)
|

Cartoon door Alfred Le Petit -
"Bonnat,
Jalabert, Jules Breton, Philippe Rousseau, Ernest Meissonnier,
Gustave Baker, painters and criticisms (critics), forbidding
Gustave Courbet, the entrance (entry) of the Salon ( 1872 )."

Fotograaf niet bekend

Karikatuur door Le Petit (13 juni 1867) |
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Gezocht:
Title
Boy with Parrot
Alternative Title Cupid
Collection
Sheffield Galleries & Museums
Trust
Artist Courbet, Gustave (French
painter and designer, 1819-1877)
Date Earliest possibly
about 1860
Date Latest possibly about
1877
Description The leading
proponent of nineteenth-century Realism, Courbet was best known for
his figurative compositions, landscapes and seascapes. This playful
image of a naked boy and parrot or Cupid may belong to the 1860s
where Courbet produced a series of sexually charged images such as
L'Origine du Monde (1866 Musée d'Orsay, Paris).
Current Accession Number
295
Subject figure (boy); myth
(Cupid); animal (parrot)
Measurements 28 x 25 cm (estimate)
Material oil on canvas
Acquisition Details Given
by J. G. Graves 1935.
Rights Owner Sheffield
Galleries & Museums Trust
Author Alastair Smith |

Ill.: André Gill
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