Parijs - 19e eeuw Gustave Courbet (1819-1877)

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1819, 10 juni

Gustave Courbet geboren in Ornans

1839, herfst

Courbet krijgt toestemming van zijn vader om in Parijs te gaan wonen. Hij raakt bevriend met o. a. Charles Baudelaire, Champfleury, en Pierre-Joseph Proudhon.

 
1861

Femme au perroquet #1

Olieverf op doek, 61 x 44cm.

Paris, Collection Alfred Daber

1863 (circa)

Venus en Psyche #1

Voorstudie voor Venus et Psyche (olieverf op doek, 81.7 x 65.8 cm) Birmingham Museum and Art Gallery

Mythe: de stervelinge Psyche was zo mooi dat zelfs de godin Venus jaloers op haar wordt.

1864

Venus en Psyche #2

Schildert Venus et Psyche, voor de Salon van 1864. Het schilderij is verloren gegaan.  
1864, 3 maart

Venus en Psyche #3 & #4

Courbet aan Etienne Haro:

Le tableau représente deux femmes nues grandes comme nature. Le sujet est peu de chose, si l’on voulait mettre un titre ambitieux à ce tableau, ça pourrait être Vénus poursuivant Psyché de sa jalousie. Ce que je vous dit là n’est que pour vous donner une idée de la composition du tableau car, jusqu’ici j’ai résolu de l’intituler Etude de Femmes dans le livret d’exposition.

 

Courbet, aan Proudhon:

There are two nude women painted life-size in an entirely new style – for me.

 

Werk wordt niet toegelaten voor de Salon: indecent, lesbisch.

 

Courbet aan kunsthandelaar Jules Luquet :

« C’est un parti pris de l’administration, car, si ce tableau est immoral, il faut fermer tous les musées d’Italie, de France et d’Espagne ».

 

Het werk wordt voor het eerst getoond in Brussel.

 

Het schilderij bestaat nog slechts in de vorm van een reproductie: monochrome photogravure, afgedrukt in: Une étude sur Courbet van Léonce Bénédite, uit 1911.

 

 

Venus en Psyche # 3. Maakt een replica, waarbij de papegaai werd weggelaten. (Kunst Museum, Bern, ook Le Reveil genoemd.

 

 

Mogelijk is dit een eerdere versie, en is die met de kaketoe dus de uiteindelijke versie.

 

Venus en Psyche # 4, Another study of a recumbent Psyche is in the Daber Collection, Paris (internetbron) Werk is niet bekend in het Papegaaienmuseum.

 

Over deze drie (vier) werken:

Welke figuur stelt Venus voor, en welke Psyche?

Volgens de iconografische traditie is Venus blond. Dan zou Venus slapen, en kan ze geen acute bedreiging vormen voor Psyche. Psyche zou dan dus de slaapster moeten zijn…

Als Venus met een vogel afgebeeld wordt, is dat met een duif. De kaketoe strookt noch met de vertelling van Apuleius, noch met die van La Fontaine, die Apuleius volgt. Het attribuut van Psyche was bovendien een vlinder.

Het slot van La Fontaine zou echter een sleutel kunnen bieden:

"Vénus, jetant les yeux sur Psyché, ne sentit pas tout le plaisir et la joie que sa jalousie lui avait promis. Un mouvement de compassion l'empêcha de jouir de sa vengeance et de la victoire qu'elle remportent; si bien que, passant d'une extrémité en une autre, à la manière des femmes, elle se mit à pleurer, releva elle-même notre héroïne, puis l'embrassa: Je me rends, dit-elle, Psyché; oubliez le mal que je vous ai fait. Si c'est effacer les sujets de haine que vous avez contre moi, et vous faire une satisfaction assez grande que de vous recevoir pour ma fille, je veux bien que vous la soyez. Montrez-vous meilleure que Vénus, aussi bien que vous êtes déjà plus belle; ne soyez pas si vindicative que je l'ai été, et allez changer d'habit. Toutefois, ajouta-t-elle, vous avez besoin de repos. Puis se tournant vers les Grâces: Mettez-la au bain qu'on a préparé pour moi, et faites-la reposer ensuite; je l'irai voir en son lit.

La Déesse n'y manqua pas, et voulut que notre héroïne couchât avec elle cette nuit-là ; non pour l'ôter à son fils : mais on résolut de célébrer un nouvel hymen, et d'attendre que notre Belle eût repris son teint. Vénus consentit qu'il lui fût rendu ; même qu'un brevet de Déesse lui fût donné, si tout cela se pouvait obtenir de Jupiter." (Jean de la Fontaine,  Les amours de Psyché et Cupidon (1669)

 

Respectievelijk Voorstudie, werk in Bern, verloren werk: Courbet zoekt naar een attribuut voor Venus.

 

Het verdwenen werk, slechts bekend als monochrome photogravure

Over de verdwijning bestaan twee theoriën.

 

Theorie 1

Was pirated from the vaults of the Victoria Insurance Company in Berlin, for Hitler's private viewing in his bunker under the Chancellery. Hitler became Psyche in the picture, bent over venus, making real his fantasies of his role as conquering hero, lover, and as master painter creating flesh of paint..…

 

How could the undisciplined bodies of the women engaged in their own pleasures in Courbet's lesbian love scenes lie quietly under Hitler's rigid Aryan body?  

The paintings variously titled "Venus and Psyche", "Psyche Pursuing Venus", and "The Awakening", were painted in 1864.  These depictions of female desire, imagined by the male painter, are central to Courbet's efforts to subvert the ideal image of the body. By commission and execution they are celebrations of female sexuality, and represent a kind of pornographic possession, by a painter determined to penetrate the veil of classical mythology to present the body as his own earthly life. The pleasures of the painted flesh and the pleasures of private possession are doubled in these painted bodies. They compel me to look. Their size, sensuality and composition fill the eye and the mind. They frustrate any illusion of distance and objectivity.  The palpable skin of paint, bearing traces of his hand, their human weight spills to the front of the composition surely exceeding the control sanctioned by the Nationalist Socialist Party. Their histories of commission and use, as partners for the private bodies of men must have tormented the official bodies charged with controlling the sights available to German eyes and minds. But to Hitler, alone. Were they a source of pleasure due to the worthy warrior? (internetbron)

 

Theorie 2

Was owned by the collector Gerstenberg and bequeathed to his daughter. It was destroyed by fire in Berlin at the end of the war… (internetbron)

Foto: Nadar

1866

FEMME AU PERROQUET #2

Courbet werkt aan Femme au Perroquet

Voorstudie. 60x73,2cm privé collectie.

 

 

Femme au perroquet (Olieverf op doek, 129.5 x 195.6 cm) New York, Metropolitan.

 

Tekening: Charles Baudelaire

Charles Baudelaire door Gustave Courbet

1866, 1 mei

Femme au perroquet geëxposeerd: Exposition de peinture, le Salon d’honneur, Paris

Kritieken tijdgenoten:

Emile Zola (L'Evénement, 15 mai 1866)

Je ne nie point que La Femme au perroquet ne soit une solide peinture, très travaillée et très nette; je ne nie point que La Remise des chevreuils n'ait un grand charme, beaucoup de vie; mais il manque à ces toiles le je ne sais quoi de puissant et de voulu qui est Courbet tout entier. Il y a douceur et sourire. Courbet, pour l'écraser d'un mot, a fait du joli!

On parle de la grande médaille. Si j'étais Courbet, je ne voudrais pas, pour La Femme au perroquet, d'une récompense suprême qu'on a refusée à La Curée et aux Casseurs de pierres. J'exigerais qu'il fût bien dit qu'on m'accepte dans mon génie et non dans mes gentillesses. Il y aurait pour moi je ne sais quelle pensée triste dans cette consécration donnée à deux de mes oeuvres que je ne reconnaîtrais pas comme les filles saines et fortes de mon esprit."

Jules-Antoine Castagnary (La Liberté 5/13 mai 1866)

La Femme au perroquet a des défauts qui proviennent de ce que l'artiste a manqué de temps: quelques jours ou quelques heures. La jambe allongée ne s'articule pas visiblement, et l'extrémité en est sèche; la chevelure est trop symétriquement répandue en éventail. Mais quelle qualité supérieure de conception et de peinture! Comme dans la hiérarchie artistique elle occupe un rang plus élevé! Et puis, quelle chair! quel bras, quel torse, quel ventre! Jamais ton plus juste ne s'allia à un modelé plus serré. Regardez-moi ce bras en l'air: comme l'at-mosphère qui le baigne en noie gracieusement les con-tours! Regardez-moi cette main sur la cuisse: mignonne, coquette, posée avec une grâce charmante, dessinée avec un art parfait, on revient pour la voir: l'objet est petit, l'art est immense. Et cet accord merveilleux entre le personnage et les accessoires? cette robe grenat recouverte de noires dentelles? ce jupon blanc? cette dra-perie du fond si harmonieuse avec ses tons éteints? Pas une fausse note dans tout cet ensemble, pas un ton criard. Rien que de charmant et d'exquis. Si vous avez la fièvre du Salon, si vos yeux saignent pour avoir trop vu, c'est devant cette toile qu'il faut venir vous reposer. Quand a-t-on peint comme cela en France? A quel art cet art n'est-il point égal? La grande Renaissance elle-même, que dirait-elle d'un pareil morceau ? Quant à moi, j'ai vu la Femme au perroquet de Courbet; je voudrais revoir, pour en faire comparaison, les Deux femmes nues que Titien, ce grand peintre de femmes, a exécutées pour le duc d'Urbin, et qui sont l'orgueil de la Tribune de Florence!

Charles Blanc (internet; oorspronkelijke tekst zoeken, plus bron):

So far from being dull, cold generalisation, La Femme au Perroquet she has a proper name, and is certainly Pamela or Theresa... However, exept for the head in which there is some truth, though she has snakes for hair, like the Medusa of the Institutes, the woman’s body rings hollow. It is drawn, put together, and posed without the slightest regard for the laws of anatomy. The right arm has no wrist; the right hip, under the officious piece of stuff which partly covers it, is not joined to the body where it ought to be... Does a man need to be, and to boast of being, a realist to paint swollen flesh and tricky effects when you are pretending to paint a compact, palpable and positive body?

François Bonvin (internet; oorspronkelijke tekst zoeken, plus bron):  ... game of bluff...

Courbet door

1866

R. Cousin: Journal des arts 24 mai

L'art chinois n'a pas encore su apprécier les beautés du nu. Les grâces de la ligne serpentine lui échappent.

Dans la visite que les ambassadeurs chinois firent dernièrement à l'Exposition, l'interprète qui les accompagne cherchait à fixer l'attention de JL Ping-Tchou sur la Femme au perroquet, de Courbet.

— Ce n'est pas là une beauté de paravent, n'est-il pas vrai? disait l'interprète.

— Pardon, répondit M. Ping, c'est une beauté à mettre derrière un paravent.

 

1867

Femme au perroquet geëxposeerd op privé tentoonstelling

Goncourt’s: Journal des Goncourt

18 sept. 1867

Rien, rien, et rien, dans cette exposition de Courbet. A peine deux ciels de mer... Hors de là, chose pipiquante, chez ce maîstre du réalisme, rien de l’étude de la nature. Le corps de sa Femme au perroquet est aussi loin du vrai du nu, que n’importe quelle académie du XVIIIe siècle.

Puis le laid, toujours le laid, et le laid bourgeois, le laid sans son grand caractère, sans la beauté du laid.

1869

Femme au perroquet geëxposeerd München

R. Braungart, Münchner Zeitung:

(...) von diesem Bild had vor einige Tagen ein Münchner Kunstschriftsteller, der bei vieles hohes Ansehen genießt, behauptet, es sei vielleicht das wunderbarste Werk moderner Malerei, das seit Jahren in München gesehen worden ist. Diese Ungeheuerlichkeit kan und darf nicht unwidersprochen bleiben, denn wenn man auch den Papagei einiger pikant gemalter Stellen wegen noch hingehen lassen will, so ist dafür die Frau ein so scheußliches Stück Malerei, wie es nur jemand zustande bringen kann, der von allen guten Geistern des Geschmackes verlassen ist. Der Himmel verhüte, daß so etwas Schule machen könnte!

Latere kritieken (na de dood van Courbet):

Cte. H. d'Ideville. Gustave Courbet, notes et documents sur sa vie et son oeuvre 1878

La Femme au perroquet n'est pas une coureuse mythologique qui, sans voile, arrête les satyres au coin des bois de l'Arcadie. C'est une femme moderne, et, si vous voulez, une courtisane; on dit qu'il y en a plusieurs à Paris. Elle se couche, rideaux fermés, et elle joue avec son oiseau couleur d'herbe fraîche. Les forts esthéticiens de là critique vantent le nu avec raison, disant que le soleil fait bien sur la peau, et qu'Eve est plus belle que toutes les patriciennes de Venise avec leurs costumes de brocart et leurs joailleries: La femme de Courbet n'a point d'ornements superflus, pas la moindre bague aux doigts des pieds, pas un ruban dans les cheveux. Simple nature comme dans le paradis terrestre, mais après avoir dépouillé l'attirail de la civilisation.

Joris-Karl Huysmans: L’art moderne, l’exposition des indépendants (1880)

(…) Courbet, dont la Femme au perroquet est aussi peu vraie, comme ordonnance et comme chair, que la Femme couchée de Lefebre ou la Vénus à la crème de Cabanel. Le Courbet est durement peint avec un couteau du temps de Louis-Philippe, tandis que les charnures des autres plus modernes vacillent comme des plats entamés de tôt-faits; c'est, au demeurant, la seule différence qui existé entre ces peintures, Courbet n'aurait pas placé au pied du lit, une moderne crinolline, que sa femme aurait tort bien pu prendre le titre de naïade ou de nymphe; c'est par une simple surpercherie de détail que cette femme a été considéré  comme une femme moderne.

Joris-Karl Huysmans: L’Artiste, 15 novembre 1878

Mais c’est bien le contraire dont nous nous plaignons, mordieu! La femme de M. Lefebvre est cotonneuse, blette. Elle a du son dans le bas-ventre. Elle n’a jamais pu être ni nue ni déshabilléee puisqu’elle n’existe pas — en tant que femme! — et puis que signifient ces mots de déshabillé et de nu? il n’y a pas de femme nues, sinon à certains moments et dans certains métiers. La Femme au perroquet de Courbet est magnifique, parce que tout à l’heure elle pourra remettre ses bottines, ses jupes! parce qu’elle vit! Je défie enfin que l’on me désigne une femme nue de Rembrandt qui ne soit une femme dévêtue et qui ne se rhabillera pas, lorsque le motif qui lui a fait enlever sa chemise, aura disparu!

A. Estignard: Courbet, sa vie, ses oeuvres (1896)

La Femme au Perroquet provoqua plus de discussions. Plusieurs fois Courbet s'était essayé dans la peinture des formes nues, notamment dans la Dormeuse, de 1847, dans le modèle de L’Atelier du peintre, dans les Baigneuses; mais cette fois l'artiste, abandonnant les tons bistres, les bruns surchauffés, peignait plus clair. Le fond du tableau était dans une gamme d'un vert foncé. La femme se détachait bien sur ces vigueurs. Rien de criard, pas de fausse note. Tout était en harmonie.

L'œuvre attestait de plus, sinon du goût, du moins du métier, une extrême facilité dans l'exécution. L'artiste s'y montrait toujours réaliste; certains portraitistes s'attachent à faire luire la flamme de la pensée, à faire transparaître la physionomie morale sous les traits du visage, à montrer le reflet de l'âme à travers le corps. Ici, Courbet avait peint une bacchante, une courtisane amoureuse, couchée sur le dos, la tête renversée et la chevelure ondoyante.

La critique ne put reprocher à Tartiste que de légères incorrections de dessin. Elle prétendit, non sans raison, que la jambe allongée ne s'articulait pas visiblement et que l'extrémité en était trop sèche, que la chevelure était trop symétriquement répandue en éventail, mais elle dut rendre hommage à la justesse des tons, à l'habileté du maître.

 
1877, 31 december Gustave Courbet overlijdt in La Tour de Peilz (Zwitserland)
1906, 22 december

De vrouw van Cézanne vindt na diens dood een portefeuille in zijn binnenzak. Daarin treft zij een gesleten afbeelding van Courbets Femme au Perroquet aan.

Een ooggetuige - op dit moment van schrijven anoniem, en spoorloos verdwenen in het Papegaaienmuseum - stelt Cézanne op straat gezien te hebben. Hij zag hem stoppen, zag dat hij zijn portefeuille te voorschijn haalde, deze opensloeg, zijn hoed afnam, en wegzonk in gedachten.

 
1906

Joséphin Péladan: Réfutation esthétique de Taine

Des Vénus de Titien, à la Tribune de Florence, à la Maja de Goya, à là Rêcamier de Gérard, à la Femme au perroquet de Courbet, il n'y a que dès différences de vision, sur un objet, le corps de la femme. A Venise, à Madrid, à Paris, au xvie comme au xixe siècle, l'artiste a aimé et oeuvré, dans un état d'âme identique, et s'est proposé un but semblable dans la représentation de la femme nue. Aucune révolution, aucune catastrophe historique ne modifie l'état de concupiscence, ni sa transposition picturale.

 
1918

Théodore Duret: Courbet

La Femme au perroquet était une femme nue, les cheveux épars, couchée sur des draperies, tenant un perroquet sur la main du bras gauche étendu. L'exécution élégante dans sa force était du même ordre que celle des femmes du Réveil, envoyé au Salon l'année précédente, mais comme le Réveil, rejeté par mesure administrative, n'avait pas été vu la Femme au perroquet arrivait avec son charme comme une surprise.

Ceux qui persistaient à faire de Courbet le représentant d'un art grossier, designé sous le litre de réalisme, se trouvaient décontenancés. La sveltesse de cette femme, l'éclat, la fraîcheur de sa chair ne pouvaient manquer quoi qu'on en eut de séduire.

 
Hedendaags

Jack Lindsay, Courbet, his life and art (1973):

Castagnary’s MS has the following explanation: the woman is the of the Virgin’s conception by the Devil, where in place of the Spirit in Doveform, it is Beastliness (Bêtise) that descends in Parrot form. It’s for this idiot of the family of parrots (grimpeurs), strong of beak and rich in plumage, that the infatuated girl has undone her optulent hair, delivered up all her charms, reserved her smile and caresses. Certainly here as in Venus-Psyche Courbet is consciously entering the Baudelairean world of femmes damnées; and, judged by his Proudhonian side, the girl has handed herself over to the forces of evil in her idle sensuality. But, as we have seen, the side of him that is sympathetic is revelling in her softness and abandonment; the bird is the symbol of sheer sensuality. Girl and Bird are only a variant of Venus and Psyche, a Lesbian image or an onanistic one.

 

Anoniem, internetbron

A naked wild-haired woman is in the midst of a reverie. Head twisted backwards with the hint of a toothy smile, her luminescent white flesh and twisted sheet make her seem to float above the deep, lush landscape where, dream-like, her bed lies. Perched on an outstretched hand is her pet parrot, its colorful wings outstretched. A brilliant flowing composition, the painting presents what might be an allegory of masturbation.

 

Frances Dickey: Parrot's Eye: A Portrait by Manet and Two by T. S. Eliot in: Twentieth-Century Literature 52.2 (Summer 2006): 1-34

(...) seems to treat the parrot as a stand-in for an erotic companion.

 

Jean Sorabella

(...) Courbet earned bitter criticism for portraying in his Woman with a Parrot a naked prostitute without vestige of goddess or nymph.

 

Catherine Schaller, 2004 (Conférence donnée au colloque Art et Crime de l’Université de Fribourg)

Avec la Femme au perroquet, toile travaillée pour être couronnée de succès au Salon. La stratégie de Courbet est différente et son choix semble manifeste. Il en fait part d’ailleurs à ses amis en la mentionnant comme d’une académie. Il peint une femme nue allongée, dont la main sert de perchoir à un perroquet, animal dont on sait qu’il était chez les Grecs, considéré comme un élément fondamental du débat concernant la spécificité du langage. Courbet réaffirme ‘son tout est dit’. Pourtant un détail appelle le regard, c’est une draperie, un jupon ou une crinoline peut-être. Des détails réalistes et donc superflus qui choquent le bon goût académique. Cette pièce de tissu intime redit ce que disait la Baigneuse, Courbet peint des femmes déshabillées, c’est-à-dire des prostituées. L’acceptation progressive de ces images et leur diffusion modifient les perceptions visuelles. Mais il n’en reste pas moins qu’une certaine catégorie de détail continue à engendrer les refus des jurys.

Anoniem, bij veiling 2007 van de Voorstudie:

Courbet brought in a colourful parrot, the kind of exotic pet associated with wealthy courtesans or women very much of this world

 

Wie ‘stond’ model voor Femme au Perroquet #2?

 

 

1. Jo Hiffernan

Anoniem, bij veiling Sotheby 2007 van de Voorstudie:

Femme nue was almost certainly modeled for Courbet by Jo Hiffernan, a young Irish girl who was the model and mistress of the English-American artist Whistler, and whose beauty Courbet greatly admired. Courbet met Jo in Whistler's company in Paris in the early 1860s; and during the autumn of 1865 all three were together for several weeks in Trouville. Courbet was outspoken in his admiration for Jo and for her thick, wavy and lustrous red hair. During the Trouville visit, he painted Jo, la belle irlandaise, one of his most beautiful genre-portraits as well as one of his own favourite paintings. Femme nue might very well have been posed by Jo at the same moment, with or without the then-unfinished Femme au perroquet in the back of Courbet's mind. It seems more likely, however, that Courbet painted the present work when Jo visited Courbet alone in Paris later in the year when Whistler was travelling abroad. Such a rendez-vous, very likely clandestine, gave Courbet further reason to veil the sitter’s identity.

 

Courbet: Jo, la belle irlandaise, 1865

 

Whistler, Symphony in White no. 1 1862 (detail)

 

* (…) the real shocker came when she started modeling for Whistler’s friend, French painter Gustave Courbet. Whistler and Courbet had a falling out, likely because Hiffernan and Courbet were having an affair at the time of the four paintings she modeled for him. This would make sense, since it is strongly believed that Hiffernan is the model for Courbet’s controversial L’Origine du monde.

 

L’Origine du monde 1866

 

2. Solange Clésinger, née Dudevant

Jack Lindsay, Courbet, his life and art (1973):

The model may be Solange Dudevant, George Sand’s daughter, who at this moment had been seperated from her husband, the sculptor Clésinger, for some five years.

 

Solange Dudevant, 1860

 

De papegaai

 

 

Zowel Femme au perroquet #1 als #2 tonen een Amazona aestiva, een Blauwvoorhoofd amazone papegaai. Naar alle waarschijnlijkheid zelfs hetzelfde exemplaar, naar het leven geschilderd. Wanneer de datering van #1 juist is - 1861- , die van #2 is onmiskenbaar - 1866 - zou het wel eens zo kunnen zijn dat het hier gaat om Courbets eigen papegaai. En dat hij graag aan vrouwenvingers knabbelt, laten beide schilderijen zien.

De hier afgebeelde papegaai is van dezelfde soort als Loulou in Flaubert’s Un Coeur Simple. (1876)


 

Cartoon door Alfred Le Petit -

"Bonnat, Jalabert, Jules Breton, Philippe Rousseau, Ernest Meissonnier, Gustave Baker, painters and criticisms (critics), forbidding Gustave Courbet, the entrance (entry) of the Salon ( 1872 )."

Fotograaf niet bekend

Karikatuur door Le Petit (13 juni 1867)

 

Gezocht:

Title Boy with Parrot

Alternative Title Cupid

Collection Sheffield Galleries & Museums Trust

Artist Courbet, Gustave (French painter and designer, 1819-1877)

Date Earliest possibly about 1860

Date Latest possibly about 1877

Description The leading proponent of nineteenth-century Realism, Courbet was best known for his figurative compositions, landscapes and seascapes. This playful image of a naked boy and parrot or Cupid may belong to the 1860s where Courbet produced a series of sexually charged images such as L'Origine du Monde (1866 Musée d'Orsay, Paris).

Current Accession Number 295

Subject figure (boy); myth (Cupid); animal (parrot)

Measurements 28 x 25 cm (estimate)

Material oil on canvas

Acquisition Details Given by J. G. Graves 1935.

Rights Owner Sheffield Galleries & Museums Trust

Author Alastair Smith

Ill.: André Gill