CUBRA HOME

 

Inhoud HPM Jean Baptiste Louis Gresset Ver-Vert gelezen door... - Ver-Vert lu par...

Onder redactie van

H. van Boxtel

Ed Schilders

Met bijdragen van

Ampère

Fredrik de Grote

Tobias Smollett

Voltaire

Le Duc de Croy

Maximilien Robespierre

F.-M. Grimm

Xavier de Maistre

Wolff en Deken

Charles Malo
Napoleon
Poesjkin
Washington Irving
Giacomo Leopardi
Thomas Frognall Dibdin
Stéphanie Félicité comtesse de Genlis
Charlotte Robespierre
Pétrus Borel
Edgar Allan Poe
Thomas Gray
Father Prout
Henry Wadsworth Longfellow
E. Littell
Henry Murger
S. T. Coleridge

Christian Fürchtegott Gellert
Coleridge

La Harpe
Charles Monselet
Denis Diderot
J. van Vloten
Conrad Busken Huet
Alphonse Allais

Raoul de Najac

Alfred Jarry
John H. Ingram
Henry Monnier
Thomas de Quincey
Jan ten Brink
Fernando Pessoa
David Hume
Vladimir Nabokov
Champfleury

 

1735

Frederik de Grote

Uit zijn correspondentie

1735
'[...] un poëme satirique plein de traits d'esprit, sous le titre d'Histoire de Vert-vert, contre l'état ecclésiastique, quoique je doute que quiconque n'est pas au fait de ce qui se pratique dans la plupart des couvents puisse y trouver beaucoup de goût.'
(Graaf Manteuffel aan Frederik de Grote, 28-11-1735; hij stuurt Ver-Vert mee.)

1736
'Un certain poëte dont vous aurez entendu parler, ou lu quelques ouvrages, Gresset, vient chez moi [...]' (waarbij de bezorger aantekent dat dit uiteindelijk niet is gebeurd; zie 1747).
(Frederik de Grote aan Suhm, 15-8-1736.)

1737
'Si Gresset pèche quelquefois contre l'exactitude, il est excusable par le feu qui l'emporte; plein de ses pensées, il néglige les mots.'
(Frederik de Grote aan Voltaire, 6-7-1737.)

1738
'Gresset [...] écrit purement; il a des vers heureux et faciles. Il ne lui manque que de la force, un peu de variété, et surtout un style plus concis; car il dit d'ordinaire en dix vers ce qu'il ne faudrait dire qu'en deux. Mais votre esprit supérieur sent tout cela mieux que moi.'
(Slijmbal Voltaire aan Frederik de Grote, feb. 1738.)

1738
'[...] la muse de Gresset,a qui, à présent, est une des premières du Parnasse français [...]'
(Frederik de Grote aan Voltaire, maart 1738.)

1740-1769
Gedurende deze periode heeft Frederik de Grote gecorrespondeerd met Gresset.

1740
'Je suis toujours dans les sentiments où j'ai été autrefois sur votre sujet; il dépendra de vous d'en réaliser les effets. Ne vous imaginez point que vous serez gêné ici; nous avons des villes, nous avons aussi des campagnes, et l'on connaît, malgré l'embarras des affaires, tout le prix d'une vie tranquille et appliquée, peut-être la seule heureuse en ce monde.'
(Frederik de Grote aan Gresset, 24-10-1740.)

1742
'C'est Gresset qui devait se rendre/ Dans le Parnasse de Berlin./ Mais, ou trop timide, ou trop tendre,/ Il n'osa faire ce chemin;/ Il languit, dans sa Picardie,/ Entre les bras de sa catin,/ Et sur des vers de tragédie.'
(Voltaire aan Frederik de Grote, 29-8-1742.)

1747
''Tout ce qui a, dans ce pays [nl. Frankrijk], un certain mérite est presque impossible à déplacer. Gresset, par exemple, dont V. M. me parle, a deux emplois qui lui rendent deux mille écus; il faut ajouter à cela une des plus jolies femmes de Paris pour maîtresse; un homme d'ailleurs prévenu en faveur de sa patrie ne la quitte point lorsqu'il y est retenu par le cœur et par l'intérêt. L'inclination que les Français gens de lettres ont pour Paris est si grande, ils sont si contents des agréments qu'ils pensent y avoir, qu'il est même difficile d'en faire sortir des gens médiocres.'
(Markies d'Argens aan Frederik de Grote, 5-9-1747.)

 

2012

Bron: Die Bücher des Königs FRIEDRICH DER GROSSE Schriftsteller und Liebhaber
von Büchern und Bibliotheken - Eine Ausstellung mit der Staatsbibliothek zu Berlin – Preußischer Kulturbesitz
Kurator Wolfgang J. Kaiser
EDITION KAISER
MMXII

13.6
Jean Baptiste Louis Gresset (1709 –1777)
Les OEuvres. Genève, Pellisari, 1746. 2 Bände.
Mit einem gestochenen Frontispiz. Marmorierte Kalblederbände der Zeit mit goldgeprägtem
Wappensupralibros des Duke of Sutherland.
Gressets berühmtes Hauptwerk ist die komische, leicht satirische Reimerzählung über den
Papagei »Ver-Vert«, der durch seine derben, von Schiffsleuten aufgeschnappten Kraftausdrücke
ein ganzes Nonnenkloster auf den Kopf stellt.
Friedrich lud vergeblich den hochgeschätzten, geistreichen Rokokodichter nach Rheinsberg
ein. Friedrichs Vorleser de Catt berichtet wie der König »La Chartreuse« (Die Kartäuserin) auswendig
lernte und ihm fehlerfrei vortrug. Friedrich bemerkte dazu (de Catt, a. a. O., S. 333):
»Sie sehen, daß ich meine Zeit nicht vergeudet habe. Diese ›Kartäuserin‹ hat mir Freude gemacht
durch den natürlichen philosophischen Ton, der darin herrscht.«
Friedrich hatte zehn Ausgaben von Gresset in seinen Privatbibliotheken.

Bron:
http://friedrich.uni-trier.de/de/oeuvres/toc/

Frederik de Grote

 

Met een bijdrage (2012) van Jos swiers

1759

Tobias Smollett

Critical Review Or Annals Of Literature, Volume 7

Sprot in rode wijn

The story of this poem is trite tho’ laughable, but as it is here told, improbable; yet, foolish (and nothing can be more so) as it is, it is so prettily told in the original, that we may compare it to a sprat stewed in French claret.

Smollett

1760

Voltaire

Le Pauvre diable

Satire op Gresset en zijn werk

Voltaire publiceerde Le Pauvre diable onder het pseudoniem Vadé. Het is een satirisch gedicht over een jonge schrijver die zich als criticus wil manifesteren. Een van de schrijvers die hem van advies dienen is Gresset. Voltaire hekelt in die passage de manier waarop Gresset afstand had genomen van zijn 'jeugdwerk' en een devoot leven was gaan leiden in Amiens.

 

« De vers, de prose, et de honte étouffé,

Je rencontrai Gresset dans un café;

Gresset doué du double privilège

D’être au collège un bel esprit mondain,

Et dans le monde un homme de collège;

Gresset dévot: longtemps petit badin,

Sanctifié par ses palinodies,

Il prétendait avec componction

Qu’il avait fait jadis des comédies,

Dont à la Vierge il demandait pardon.

-- Gresset se trompe, il n’est pas si coupable:

Un vers heureux et d’un tour agréable

Ne suffit pas; il faut une action,

De l’intérêt, du comique, une fable,

Des moeurs du temps un portrait véritable,

Pour consommer cette oeuvre du démon.

Mais que fit-il dans ton affliction?

-- Il me donna les conseils les plus sages:

« Quittez, dit-il, les profanes ouvrages;

« Faites des vers moraux contre l’amour;

« Soyez dévot, montrez-vous à la cour. »

 

Voltaire heeft ook een epigram geschreven tegen Gresset

Épigramme sur Gresset

Certain cafard, jadis jésuite,
Plat écrivain, depuis deux jours
Ose gloser sur ma conduite,
Sur mes vers, et sur mes amours :
En bon chrétien je lui fais grâce,
Chaque pédant peut critiquer mes vers ;
Mais sur l’amour jamais un fils d’Ignace
Ne glosera que de travers.


Voltaire (François Marie Arouet)

  De eerste uitgave van Le Pauvre Diable is geantedateerd op 1758

 

  Voltaire

 

Bron van het epigram is de online-versie van:

Oeuvres complètes de Voltaire, Volume VIII, Brussel, 1829. CCCXC, p. 195

 

KLIK HIER OM DE PDF TE DOWNLOADEN VAN EEN CAUSERIE OVER DE CONTROVERSE VOLTAIRE-GRESSET

 

Zie voor de controverse Voltaire-Gresset hierboven 1825 -Mme de Genlis

1775, 17 mei

Journal inédit du Duc de Croÿ

 

Gresset draagt een aanvulling op Ver-Vert voor

Le 17 mai, M. et Mme d'Havré, avec M. de Priego et Mme de Tourzel, passèrent à Amiens. Ils me dirent avoir été enchantés de tout ce qu'ils avaient vu à l'Hermitage. Le fameux Gresset (1), que nous voyions souvent, leur récita le meilleur de ses chants de Vert-Vert, qu'il n'a pas voulu donner par scrupule : c'était celui de l’ouvroir des religieuses. Il y a encore plus de gaîté et de feu que dans les autres. Ma famille en fut enchantée…

(1) Le chant auquel M. de Croy fait allusion était, en réalité, un petit poème faisant suite au Vert-Vert, et intitulé l'Ouvroir des Nonnes, ou le laboratoire de nos sœurs. L'auteur le brûla peu de temps avant sa mort.

De Croy

Zie ook 1875

 

1785

Eloge de Gresset - Maximilien Robespierre (1758-1794) - gepubliceerd in 1868

Oui, tant que la Langue Françoise subsistera, le Ververt trouvera des admirateurs. Grâces au pouvoir du génie, les aventures d'un Perroquet occuperont encore nos derniers neveux. Une foule de Héros est restée plongée dans un éternel oubli, parce qu'elle n'a point trouvé une plume digne de célébrer ses exploits ; mais toi, heureux Ververt, puisqu'il a plû à un grand Poëte de t'immortaliser, ta gloire passera à la postérité la plus reculée. Dans plusieurs siècles, on parlera encore avec intérêt de tes prospérités et de tes revers, de tes charmes et de tes erreurs, des tendres soins que te prodiguèrent les douces maîtresses dont tu fus l'idole, et des plaisirs que tu leur procuras, et des larmes que tu leur fis répandre.

Aussi ne devons-nous pas nous étonner si cet ouvrage fit une si prodigieuse sensation dès sa naissance. Les applaudissemens qu'il excitoit redoubloient encore lorsqu'on apprenoit que ce chef-d'œuvre étoit le coup d'essai d'un homme de vingt-six ans, renfermé dans l'enceinte d'un collège, et destiné à la vie monastique. Le grand Rousseau, frappé de l'éclat d'un tel début, annonçoit dès-lors le jeune Auteur à son siècle comme un des plus beaux génies qui dévoient l'illustrer. C'étoit sans doute un spectacle assez intéressant de voir un des plus célèbres Poètes de nos jours applaudir au triomphe d'une Muse naissante, faite pour partager avec lui l'attention du Public, et confondre, par son exemple, les lâches complots de l'envie, qui veille toujours pour arrêter le grand homme à l'entrée de sa carrière.

Mais, tandis que Gresset jouit de la gloire attachée à ses premiers succès, quel orage s'est tout- à-coup formé sur sa tête? On conspire contre lui, on l'accuse d'attenter à l’honneur de l'Ordre de la Visitation, on crie au scandale, à la calomnie... Aimable Poète, reprenez vos pinceaux; peignez-nous des évènemens véritables, beaucoup plus plaisans que toutes les fictions du Ververt. Mais que dis-je ? Le badinage n'est plus de saison, l'intrigue et le crédit ont secondé le courroux de ses ennemis ; les Jésuites sont forcés de faire un sacrifice, et le jeune Poëte est condamné à s'ennuyer à la Flèche, pour expier le plaisir que procuroient au Public les ingénieuses saillies du Ververt.

Robespierre

Zie ook 1899: Jan ten Brink

Zie ook 1835: Charlotte Robespierre

Voor de volledige Eloge KLIK HIER

1790, oktober

Grimm, Friedrich Melchior (1723-1807 ; baron de). Correspondance littéraire, philosophique et critique de Grimm et de Diderot depuis 1753 jusqu'en 1790. 1831.

Bespreking van het theaterstuk van Desfontaines en Dalayrac

 Vert-Vert divertissement nouveau en un acte, en prose, mêlé d'ariettes, paroles de M. Desfontaines. musique de M. Dalayrac, a été représenté sur le Théâtre Italien pour la première et dernière fois le lundi 11.

Le fonds de ce charmant poëme de Vert-Vert, traité par tout autre, a dit M. d'Alembert, n'eût été qu'une plaisanterie insipide et monotone. Il serait difficile de le prouver mieux que ne l'a fait M. Desfontaines, en se bornant tout platement à mettre en dialogue et en ariettes une grande partie des traits qu'on avait le plus applaudis dans le poëme, parce qu'ils y sont placés avec goût, préparés avec adresse, et surtout avec cette juste mesure de badinage si difficile à saisir dans un sujet de ce genre.

L'action du drame commence au moment ou les religieuses de Nevers attendent avec inquiétude des nouvelles du retour de l'oiseau voyageur; on le voit rapporter enfin dans une belle cage dorée. Son nouveau langage scandalise, comme on sait, tout le couvent; les jeunes sœurs croient qu'il parle grec; on le proscrit. Sa conversion suit de près son exil, car avant la fin de l'acte on vient annoncer son repentir et sa mort.

La musique offre quelques morceaux agréables, et que le sieur Solier, qui joue un rôle de jardinier, à fait valoir avec beaucoup d'intelligence. Le compositeur s'est avisé de mêler dans son ouverture des phrases entières d'un saint cantique, O Filii, ô Filiae, avec celles d'un vaudeville très-profane. Quand je bois du vin clairet, etc. ; cette licence musicale eût passé autrefois pour une impiété scandaleuse, mais aujourd'hui nous sommes plus indulgens, du moins pour tout ce qui ne contrarie pas le sens de la révolution.


Grimm

1797

Een brief in dichtvorm van Ampère aan zijn geliefde Emilie

Een liefdesbrief op rijm van Ampère

 

Vous voulez donc, belle Emilie,

que de Gresset ou d'hamilton

dérobant le leger crayon,

j 'aille chercher dans ma folie

sur l.kes rosiers de l 'Helicon,

s'il reste encor quelque bouton

de tant de fleurs...

 

Ampère

184? (ca.)

Louis Etienne St. Denis (known as Ali)

in: Napoleon from the Tuileries to St. Helena : personal recollections of the emperor's second mameluke and valet, Louis Etienne St. Denis

 

Napoleon als liefhebber van Ver-Vert

The drama had great charms for the Emperor. Corneille, Racine, Voltaire, often had one or two acts of their pieces read aloud. He preferred Corneille to the others, in spite of his imperfections; he always chose what was as lofty as he himself, Napoleon.

Sometimes he would ask for some comedy which he had seen played, and from time to time a piece of poetry, for instance, "Vert-Vert."

 

Keizerlijk wapen van Napoleon

 

Napoleon

 

Source: Author: Saint Denis, Louis Eìtienne, 1788-1856; Potter, Frank Hunter, 1851-1932

Subject: Napoleon I, Emperor of the French, 1769-1821

Publisher: New York : Harper & Brothers

Language: English

Call number: DC209 .S3

Digitizing sponsor: MSN

Book contributor: Cornell University Library

Contributor usage rights: See terms

Collection: cornell; americana

Full catalog record: MARCXML

18??

Over Xavier de Maistre

Jean-Pierre Poussou in L'influence francaise en Russie au XVIIIe siècle

 

De Maistre beïnvloed door Ver-Vert?

Si Xavier de Maistre est loin d'incarner, en tant que telle, la littérature libertine, il est pourtant adepte d'un badinage qu'illustre si bien sa première œuvre, le Voyage , inspirée par le célèbre poème de Jean-Baptiste Gresset, Vert-vert :

A Nevers donc chez les Visitandines.

Vivait nagueres un Perroquet fameux...

Vert-vert...

Le digne oiseau est enfermé pour son bien dans une sainte cage. Il était l’âme de ce couvent, l'Amant chéri. Il est envoyé à Nantes à la demande de la supérieure, qui voulait voir ce prodige capable de réciter ses ave. Mais, sur le bateau, en compagnie d'un moine paillard, il apprend un vocabulaire fleuri, sinon vert ; à son arrivée, l'oiseau est puni, mis en geôle ; repenti, il retrouve la liberté et, en guise de récompense, il est tellement gavé de sucreries, qu'il s'empresse de mourir. Le poète lui consacre cette épitaphe :

Ci-gît Vert-vert, ci-gisent tous les cœurs ...

Il est aisé de reconnaître dans l'oiseau libertin une métaphore de l'amant emprisonné.

 

De kamer van Gresset

In La Chartreuse beschreef Gresset zijn kamer als volgt in de beschrijving van F. Godefroy (1882):

 


De Maistre

Bedoeld wordt uiteraard De Maistres meesterwerk Voyage autour de ma chambre. De twee door Poussou aangehaalde citaten uit Ver-vert komen daarin niet voor. HPM vond echter een editie van de Voyage waarin een zeer toepasselijk citaat uit Ver-Vert is opgenomen op de titelpagina.

Xavier de Maistre

Bron:

1802

Elisabeth Bekker, Weduwe Wolff en Agatha Deken: Geschrift eener bejaarde vrouw.

Goede smaak

Het vernuft der zogenaamde grappige schrijvers heeft niets van dat fijne en van die kiesheid die verstandige lieden doen lachen, hen vervrolijken. Zij wijken zo ver af van het decorum, dat zij geen aandacht verdienen. Het zijn schrijvers die in geen fatsoenlijke gezelschappen geduld worden. Hoe bekoord worden integendeel de goede smaak, het waar vernuft en de mensenkennis, als wij The Rape of the Lock, Vert Vert, de Lutrin  lezen.

Met dank aan Gert Haverkate

  Dossier: Gresset, Le Lutrin Vivant - vertaling door Prudens van Duyse

1812

Vaderlandsche Letteroefeningen;
Boekbespreking van Le Parrain magnifique, Poëme en dix chants, ouvrage posthume de Gresset. (Anoniem)

Ook in Amsterdam

Ieder ten minste, die Fransch leest, kent zijnen Ver-vert, in Amsterdam even zoo wel als in Parijs, en weet dien op prijs te stellen.
 

1814

Napoléoniana, ou recueil d'anecdotes, saillies, bons mots, reparties, etc., etc., pour servir à l'histoire de la vie de Buonaparte

Charles Malo

 

Le Perroquet

Une des manies de Buonaparte était de ne paraître étranger à aucune connaissance. Dans le voyage qu'il fit, il y a quelques années, à Amiens -, il reçut des députations de toutes les autorités constituées et des sociétés savantes de la ville : La Société d'Emulation, précédait L’Académie des Belles Lettres. Buonaparte témoigna son étonnement de voir deux corps littéraires dans une ville qui n'avait pu fournir de grands hommes à la littérature. « Sire, lui fît observer un des membres, Amiens s’honore d’avoir donné le jour à Ducange et à Gresset. » Une heure après que cette députation fut sortie, l'Académie vint faire sa visite. « Je reçois avec plaisir, dit Buonaparte, l'Académie d'Amiens - Amiens est une ville chère aux amis des lettres ; elle a donné naissance à Ducange et à Gresset. »

Tout le monde se récria, comme on le pense, sur la vaste érudition du Corse.... excepté cependant L’homme de lettres qui avait été des deux députations, et que Buonaparte n'avait sans doute pas remarqué.

 

Deze anekdote wordt bevestigd in het anonieme: Anecdotes inédites ou peu connues sur Napoléon Bonaparte ; contenant beaucoup de faits qui ont échappé à ses historiens et les traits les plus propres à caractériser ce
personnage singulier et extraordinaire, dont l'ambiti....
(1822)

 

Buonaparte

HPM vraagt zich af wie de 'homme de lettres' was die bij beide ontvangsten aanwezig was.

De Napoleon-anekdote in Nederland

1816

Anoniem

Keizerlijke geleerdheid.
Bekend is het, dat BUONAPARTE het zwak had, in geen vak van menschelijke kennis
voor vreemdeling te willen doorgaan. Op eene zijner reizen verwaardigde hij zich,
te Amiens, al de Afgevaardigden der gezamenlijke Regeringscollegien, alsmede
van de geleerde Genootschappen der stad, ten gehoor toe te laten. Eerst verschenen
de sprekers des Gezelschaps Naijver, en vervolgens de Gedeputeerden van de
Akademie der schoone Wetenschappen. BUONAPARTE betuigde aan de eersten
zijne verwondering, twee letterkundige Gemeenschappen in eene stad te vinden,
die toch, gelijk hij zich geliefde uit te drukken, nimmer eenig wetenschappelijk Genie
in haren schoot had gekweekt. - ‘Sire!’ hernam een der medeleden dezer Deputatie,
‘Amiens had de eer, de geboortestad te zijn van GRESSET en DUCANGE.’ - Na verloop
van een uur, werden de Afgevaardigden der Akademie voorgesteld, wier aanspraak
de Keizer aldus beantwoordde: Het strekt mij tot genoegen, de vertegenwoordigers
der Akademie van Amiens bij mij te zien. Amiens is eene, den vrienden der
wetenschappen zeer schatbare, stad: zij is de geboorteplaats van een' DUCANGE en
GRESSET. - Iedereen verwonderde zich over 's Keizers ongemeene geleerdheid,
één uitgezonderd, die van beide de Deputatien was geweest.

Bron: Vaderlandsche Letteroefeningen.
G.S. Leeneman van der Kroe en J.W. IJntema, Amsterdam 1816
 

1815

Commentaar van Vladimir Nabokov bij zijn vierdelige uitgave van Poesjkins Eugene Onegin (1964).

Aleksander Poesjkin leest Ver-Vert

J. B. L. Gresset, Vert-vert (1734; a poem—greatly admired by Pushkin—in four small cantos, about a renegade parrot which had been the pet of a nunnery): "Au printemps de ses jours | L'essaim des folatres amours . . ."

For years, Pushkin, not to speak of the minor poets of his day, could not get rid of these Wounds, Charms, and Ardors, of these clusters of cupids coming from their porcelain beehives in the eighteenth-century West. Gresset was a gifted poet, but his idiom was the same as that of the whole essaim of the folâtres poets of his time.

Yuriy Tinyanov ("Pushkin i Kyuhelbeker," an essay that should be taken with a lick of salt, in Lit. nasl., nos. 16-18 (1934), pp. 321-78 ) suggests that Pushkin first read Gresset in 1815, when Kuchelbecker's mother sent two volumes of that poet to her son, Pushkin's Lyceum comrade.

Poesjkin

Joeri Tynjanov voltooide zijn doctoraalscriptie 'Poesjkin i Kjoechelbeker' ('Poesjkin en Küchelbecker') in 1919, maar die ging verloren in de burgeroorlog, waarna hij er in 1934 het gelijknamige artikel over schreef. (Jaap Engelsman)

Nabokov bezat zelf ook een uitgave van Ver-Vert: "Incidentally, the variations in the spelling of the name of Gresset's parrot are amusing. My copy has the following title: Les OEuvres de Gresset, Enrichies de la Critique de Vairvert \ Comédie en I acte (Amsterdam, 1748). In the table of contents the title is Vert-Vert, In the half title (p. 9) and in the poem itself it is "Ver-Vert," and in the critique in comedy form appended to the volume, "Vairvert."

Zie 1954: Nabokov Zie 1836: Poesjkin

1824

Washington Irving

Uit: Pierre Munroe Irving, The life and letters of Washington Irving, Volume 2

Ontbijt

Saturday, 17 th [january] —After breakfast read Gresset's Ver-vert, or history of a Parrot—excellent—full of wit and waggery, and delightfully versified.
 

Irving

1824

Giacomo Leopardi

Ver-Vert als voorbeeld voor een sprekende robot of automaat

Dit essay is een satire op de prijsvragen die door wetenschappelijke academies werden uitgeschreven. De vraag die Leopardi bespreekt aan de hand van zo'n academische opdracht -- de 'Academie van de Sillografie' is fictief -- is of de mens een robot kan bouwen die kan spreken. Het antwoord luidt 'ja', en een van de argumenten is dat ook dieren, en met name Ver-Vert menselijke spraak beheersen.

 

De desbetreffende passage luidt in Engelse vertaling:

 

PRIZE COMPETITION ANNOUNCED BY THE ACADEMY OF SILLOGRAPHS.
 

(...) Now in the opinion of many " savants," human life is a game, and some assert it to be a thing even more frivolous. They say that the game of chess is a more rationally conceived thing, and its hazards are less uncertain than those of life. Besides, Pindar has called life a thing of no more substance than the dream of a shadow ; in which case it ought not to be beyond the
capacity of a vigilant automaton. As to speech, there is no reason why men should not be able to communicate this to machines of their manufacture. For amongst examples of manufactures so endowed, we may number the statue of Memnon, and the head formed by Albertus Magnus ; this latter was so loquacious that St. Thomas Aquinas, irritated at its incessant tittle-tattle, broke it in pieces. And if the parrot of Nevers (though certainly this was an animal, however small a one) could converse, how much more credible that a machine, conceived by the mind of man, and constructed by his hands, should be able to acquire such attainments ? The machine ought not to be so talkative as the parrot of Nevers, and other similar ones, which we see and hear everywhere ; nor as the head made by Albertus Magnus ; for it must not weary its friend, thereby inciting him to its destruction.

Samengesteld door Jos Swiers & HPM

Leopardi

Originele titel: Proposta di premi fatta dall'Accademia dei Sillografi

Bron / citaat: Essays and Dialogues of Giacomo Leopardi (1882), Londen, Trübner.

KLIK HIER voor afbeeldingen van een dergelijk mechanisme, zoals later in de 19de eeuw uitgevonden.

1825

Rev. T.F. Dibdin

The Library Companion

Exclusieve exemplaren

Of Gresset, I will recommend only Renouard's edition, in 1811, 8vo. 3 vols.: worth about 1l. 10s. On large paper, there were only two copies printed. One is in the library of Earl Spencer, the other in that of the publisher. The plates are very clever—from the pencil of Moreau.

Dibdin

1825

Stéphanie Félicité comtesse de Genlis

Memoirs of the Countess de Genlis, Volume 1

&

Le dernier voyage de Nelgis (1829)

Geschenk

On New Year's day M. de Mondorge made me a present of Gresset's Poems and La Fontaine's Fables.

 

In Le Magasin Pittoresque jaargang 1886 lezen we:

 

 

Genlis verdedigt Gresset tegen Voltaire

 

 


Genlis

 

 

Zie voor de controverse Voltaire-Gresset hierboven 1760

1832

John Russell Russell

The Causes of the French Revolution

Gresset & Rousseau

On the 21st of May, three weeks after leaving Wootton, he [Rousseau] arrived at Calais. On the 23d he set out for Amiens, where he had a long and interesting conversation with the poet Gresset, whom he charmed by his simple and natural eloquence. On taking leave of Gresset, he said to him,—"I am convinced that, before you saw me, you had a very different opinion of me; but it is no wonder that you, who know so well how to make parrots speak, should be able to make bears tame."

De Encyclopaedia Britannica (Vol. 18, 1823) geeft deze lezing: 'The Genevan philosopher [Rousseau], however, certainly returned to France. In passing through Amiens, he met with M. Gresset, who interrogated him about his misfortunes and the controversies he had been engaged in. He only answered, "You have got the art of making a parrot speak; but you are not yet possessed of the secret of making a bear speak."'

De juiste toedracht was echter van geheel andere aard volgens A.A. Renouard in zijn biografische inleiding bij de editie van 1811:

On sait que J.-J. Rousseau à son retour d'Angleterre passa par Amiens, et qu'il y visita Gresset. […] Gresset et J.-J. Rousseau ne s'étoient jamais vus, et se quittèrent fort contents l'un de l'autre.

«Je suis persuadé, dit Rousseau en sortant, qu'avant de m'avoir vu vous aviez de moi une opinion bien différente ; mais vous faites si bien parler les perroquets qu'il n'est pas étonnant que vous sachiez apprivoiser les ours ». Ce mot, aussi obligeant que spirituel, a été dans plusieurs notices sur Gresset travesti en une maussade dureté que bien gratuitement on prête à Jean-Jacques. On y prétend, que dans sa visite à Gresset, celui-ci avoit en pure perte tâché d'être aimable, que le Genevois n'avoit pas ouvert la bouche, et qu'en sortant il dit à Gresset : « Vous avez fait parler un perroquet , mais vous n'avez pu faire parler un ours ». Je serois porté à croire qu'il en est de même de beaucoup de boutades désobligeantes que l'on prête à J.-J. Rousseau, et dans lesquelles il faudroit croire à peu près l'opposé de ce qu'on raconte.

Rousseau

 

Nader onderzoek naar deze anekdotische situatie lijkt HPM gewenst.

1835

Charlotte Robespierre

Memoires de Charlotte Robespierre

Complimenten voor Robespierre

Maximilien concourut encore une fois ; l'Académie d'Amiens avait mis au concours L’Éloge de Gresset; mon frère envoya un discours qui n'obtint qu'une mention honorable, la seule qui fut donnée, car le prix ne fut décerné à aucun des concurrens. Lorsque son discours eut été livré à l'impression, il en envoya un exemplaire à chacun de ses amis , qui le remercièrent en prose et en vers.

Réponse de M. Fosseux à une lettre que lui écrivit Maximilien Robespierre en lui envoyant un exemplaire de L’ Éloge de Gresset.


Du chantre de Vert-Vert je prisais les talens :
Mon oreille, attentive à ses tendres accens,
Ne pouvait se lasser d'écouter cette lyre
Que n'inspira jamais un coupable délire.
Mais combien il paraît plus sublime a mes yeux
Depuis que , possesseur d'un écrit précieux,
Je puis , guidé par toi, mieux régler mon suffrage.
Quoi! ce touchant éloge où tu lui rends hommage
Où lu peins son esprit , son style intéressant ,
A ses concitoyens parut insuffisant !
Qu'ils craignent que par eux , sa cendre révérée
N'obtienne pas la gloire à Gresset préparée.
Que fallait-il de plus pour l'honneur d'un mortel?
Pour l'honneur de Gresset fallait-il un autel !
Mais contre cet arrêt tandis que je réclame ,
Cet arrêt rigoureux n'irrite point ton âme.
(...)

Charlotte Robespierre

1836

Een notitie van Alexander Poesjkin

V.L.P.'s Journey

... All those who love Catullus, Gresset and Voltaire, all those who love poetry, not only in its lyrical flights or in the melancholy inspiration of elegy, not only in the wide sweep of drama and epic, but also in such products of simple humour as playful quips and intellectual diversions, value poetic sincerity.

Dmitriev's humorous poem 'V.L.P.'s Journey' was published in Moscow in 1808 in 50 copies. It dealt lightly with the journey Pushkin's uncle, Vasily Pushkin, had undertaken to Paris and London in 1803-4. (…) This note was written in 1836, probably intended for the Sovremennik, but was not published till 1855.

Poesjkin

1839

Pétrus Borel

Uit Madame Putiphar

— À merveille, vous faites de sir Fitz-Harris un parfait perroquet, un fort aimable vert-vert.
— Je vois avec satisfaction, que vous avez daigné me comprendre, madame, et j'ose espérer que vous ne ferez pas Fitz-Harris victime, comme Vert-Vert, de la grossièreté des bateliers.

Pétrus Borel  

1839

Edgar Allan Poe

The Fall of the House of Usher

 

Wat ze lazen

Our books --the books which, for years, had formed no small portion of the mental existence of the invalid --were, as might be supposed, in strict keeping with this character of phantasm. We pored together over such works as the Ververt et Chartreuse of Gresset; the Belphegor of Machiavelli; the Heaven and Hell of Swedenborg; the Subterranean Voyage of Nicholas Klimm by Holberg; the Chiromancy of Robert Flud, of Jean D'Indagine, and of De la Chambre; the Journey into the Blue Distance of Tieck; and the City of the Sun of Campanella. One favourite volume was a small octavo edition of the Directorium Inquisitorum, by the Dominican Eymeric de Gironne; and there were passages in Pomponius Mela, about the old African Satyrs and AEgipans, over which Usher would sit dreaming for hours. His chief delight, however, was found in the perusal of an exceedingly rare and curious book in quarto Gothic --the manual of a forgotten church --the Vigilae Mortuorum secundum Chorum Ecclesiae Maguntinae.

Edgar Allan Poe

Zie hieronder 1885

1843

Thomas Gray, John Mitford, Norton Nicholls

The Works of Thomas Gray: Mathias's letter on the death of N. Nicholls ...

Uitzondering

He thought that Milton had improved on Tasso's devil by giving him neither horns nor a tail. He admired Racine, particularly the Britannicus. He disliked French poetry in general; but was much pleased with Gresset, and extremely with his poem of the Vert-vert.

Thomas Gray

1845

Poets and Poetry of Europe

Henry Wadsworth Longfellow (ed.)

De bewerking van Father Prout gebloemleesd door Henry Wadsworth Longfellow

 

JEAN-BAPTISTE-LOUIS GRESSET

This agreeable poet was born at Amiens, in 1709. He studied with the Jesuits, and at the age of seventeen entered that order ; after which he was sent to Paris, and completed his education in the College Louis-le-Grand. In his twenty-fourth year, he wrote the humorous poem, called " Ver-Vert." This was shortly followed by " Le Carème Impromptu," " Le Lutrin Vivant," and other poems, which rapidly gained him a great reputation. The free tone of his writings gave offence in some powerful quarters, and brought him under the censure of the Jesuits, who sent him to La Flêche, by way of punishment. Here he continued his literary occupations. At the age of twenty-six, he left the order, and returned to Paris, where his various and agreeable talents, and the celebrity of his works, made him the favorite of society. In 1748, he was chosen a member of the Academy. Soon after this, he returned to Amiens, married, and established himself on a beautiful estate near the city. In 1774, he was appointed to congratulate Louis the Sixteenth, in the name of the Academy, on his coronation, and was ennobled. He died in his native city, June 16th, 1777.

Besides the poems mentioned above, Gresset wrote several dramatic pieces, which had but little success. The tragedies, " Edouard III." and "Sidney," were failures; but the piece entitled " Le Méchant" has distinguished merit as a picture of manners. His style is marked by humor, grace, and simplicity. The best edition of his works is that by Renouard, in three volumes, Paris, 1811.

Longfellow

Voor de tekst van Father Prout KLIK HIER

1848

E. Littell - in: Living Age

Een droevig voorbeeld

The parental note is the natural note of the bird ; all power and nature of singing is thence derived. Deprive a fledgling of all access lo the hearing of that note, and he will adopt the first of which he is permitted to be conscious. Thus, we have heard of a speaking thrush. Some birds have adopted, as far as in them lay, the sounds of animals; and Gresset's "Ver-vert" is a sad and lasting example of the facility with which certain birds, as well as men, learn wickedness, and have their manners corrupted by evil communications.

 

1851

Henry Murger

Scènes de la Vie de Bohème XVII
Le toilet des grâces

Een betere vloeker dan Ver-Vert

 - 'En outre, comme celle-ci était polyglotte dans ses sentiments et recevait des visites de tous les coins du monde, le perroquet parlait toutes les langues et se livrait quelquefois
dans chaque idiome à des blasphèmes qui eussent fait rougir les mariniers à qui Vert-Vert
dut son éducation avancée.'

Henry Murger

1856

Samuel Taylor Coleridge
Seven lectures on Shakespeare and Milton

Uitzondering

"He [Coleridge] told us that he liked the Odyssey, as a mere story, better than the Iliad: the Odyssey was the oldest, and the finest romance that had ever been written. He could not tolerate the French Telemachus, nor indeed anything that was French, excepting Gresset's Vert-Vert, which he had not read for many years.

Coleridge

1863

Christian Fürchtegott Hellert

 

Horatius, Terentius en Gresset

Gellert

Bron: Le Magasin Pittoresque - 1863

1865

Editie met voorwoord La Harpe

Vert-Vert est plutôt un conte qu'un poëme. Mais, quoi qu'il en soit du titre, il n'est pas possible de passer ici sous silence ce qui n'est, si l’on veut, qu'un badinage, mais un badinage si supérieur et si original qu'il n'a pas eu 'imitateurs, comme il n'avait point de modèle.

Il produisit, à son apparition dans le monde, l'effet d'un phénomène littéraire : ce sont les expressions de Rousseau dans ses Lettres, et il n'y a pas d'exagération.

Tout devait paraître ici également extraordinaire: tant de perfection dans un auteur de vingt-quatre ans : un modèle de délicatesse, de grâce, de finesse, dans un ouvrage sorti d'un collège ; et ce ton de la meilleure plaisanterie, ce sel et cette urbanité qu'on croyait n'appartenir qu'à la connaissance du monde, et qui se trouvaient dans un jeune religieux; enfin la broderie la plus riche et la plus brillante sur le plus chétif canevas : il y avait de quoi être confondu d’étonnement, et les juges de l'art devaient être encore plus étonnés que les autres.

 

La Harpe

 

 

1866

Charles Monselet
Le Double Almanach Gourmand

Ver-Vert slachtoffer van zoetigheid


Les bonbons ont eu leurs victimes. Une des plus fameuses est cet aimable perroquet de
Nevers dont Gresset a raconté la pieuse éducation chez les Visitandines. Ce Vert-Vert
qui, repentant et rentré en grâce, mourut d'une indigestion exquise.

Charles Monselet

 

1875

Diderot, Denis (1713-1784).

Oeuvres complètes de Diderot, revues sur les éditions originales... Étude sur Diderot et le mouvement philosophique au XVIIIe siècle, par J. Assézat [et Maurice Tourneux].

 

Over een verloren gewaand manuscript van Gresset

Deux ans plus tard, l'Institut de France s'organisait. Un de ses premiers soins fut de s'occuper de dresser une sorte de bilan des richesses perdues de la littérature française. On s'inquiéta, entre autres choses, d'un chant de Ver-Vert intitulé L’ouvroir, qu'on crut être entre les mains du prince Henri de Prusse. Ce prince, qui, après-avoir montré qu'il était bon capitaine, dut se réfugier dans une demi-obscurité pour ne pas risquer de trop déplaire à Frédéric II, son frère, occupait noblement ses loisirs en cultivant les lettres, les arts et les sciences. Il était un des souscripteurs à la Correspondance de Grimm. Il s'intéressait particulièrement à Diderot. La lectrice de sa femme, Mme de Prémontval, dont il sera question dans le roman [Jacques le Fataliste ; HPM], avait pu lui en parler de visu. Ce n'est pas cependant par elle, comme l’a cru l'éditeur Brière, qu'il eut communication de Jacques le Fataliste, puisqu'elle était morte plusieurs années avant que ce livre fût écrit. Il en possédait une copie au même titre que la vingtaine d'autres personnes dont parle Mylius. Seulement, il ne se crut pas obligé à la tenir secrète, et, en réponse à la demande du chant de Ver-Vert qu'il n'avait pas, il offrit Jacques le Fataliste; qu'il avait. Il reçut des remercîments, et on le pria de mettre à exécution cette louable intention. Il répondit par cette nouvelle lettre :

« J'ai reçu la lettre que vous m'avez adressée. L'Institut national ne me doit aucune reconnaissance pour le désir sincère que j'ai eu de lui prouver mon estime : l'empressement que j'aurais eu de lui envoyer le manuscrit qu'il désirait, s'il eût été en ma puissance, en est le garant. On ne peut pas rendre plus de justice aux grandes vues qui l'animent pour mieux diriger les connaissances de l'humanité.

« Je regrette la perte que fait la littérature de ne pouvoir jouir des œuvres complètes de Gresset, cet auteur ayant une réputation si justement méritée. J'ai fait remettre au citoyen Gaillard, ministre plénipotentiaire de la République française, le manuscrit de Jacques le Fataliste. J'espère que l'Institut national en sera bientôt en possession. Je suis, avec les sentiments qui vous sont dus, votre affectionné,

« Henri.-»

Zie ook 1775

1876

Beknopte geschiedenis Nieuwe letteren

Dr. J. van Vloten

Vernuft

Als ster in den lossen verhaaltrant in verzen komt de in 1709 geboren Jean-Baptiste Gresset Voltaire het meest nabij. In zijn bevallig schertsenden Vert-vert, gelijk in zijn geestige Chartreuse en elders, toont hij zich als een dichter van het natuurlijkst vernuft...

Van Vloten

1879

Conrad Busken Huet

Het land van Rubens

Verkwikkelijk

Voor den Nederlander, die slechts Nederlander is, zijn aan den naam van Amiens herinneringen uit den jare 1802 verbonden, die niet tot de verkwikkelijkste behooren. Levendig moeten wij ons kunnen voorstellen, dat de vorsten uit het huis van Oranje
geen opgewektheid gevoelen, te Amiens den zomer te gaan doorbrengen. Toch kan ik naar waarheid getuigen, dat Amiens eene lieve stad is, en men even weinig moeite heeft, er de schim van den Raadpensionaris te ontwijken, als de heugenis der Bataafsche Republiek uit den weg te gaan.
Het zij met allen eerbied gezegd: de verdienste komt niet in de eerste plaats Sint Maarten toe; al is Amiens de plaats, waar de legende hem de beminlijke daad laat plegen, welke de
minsten onzer hem in de werkelijkheid gaarne zouden nadoen. Even weinig aan Peter den Eremiet, wiens bronzen standbeeld de Place Saint-Michel versiert. Zelfs niet aan den gezelligen Gresset, die evenals de eerste kruisvaartprediker hier geboren werd, en uit wiens Vert-Vert men zien kan, hoe sterk, in minder dan achthonderd jaren na de kruistogten, het ontzag voor de geestelijkheid in Frankrijk afgenomen was.

Busken Huet

188?

Alphonse Allais

Uit 'Vert-vert'

Pourtant, au retour des vacances du jour de l’an, le pauvre diable entra le matin à la classe enveloppé dans un pardessus...
Non, mes amis, un pardessus!
La joie que nous éprouvâmes à la vue de ce vêtement tint du délire épileptiforme.
Et nous ne savions pas ce que nous devions le plus admirer en ce chefd’oeuvre, ou sa forme, ou sa couleur.
Inénarrable, sa forme! Gauchement taillé, godant par ci, tirant par là, remontant dans le cou. Et les manches! Et les poches! Et les boutons!
Mais ce qui nous mettait le plus en gaîté, c’était encore sa couleur.
Imaginez que, dans une forêt vierge du Brésil, on tue une grande quantité de perroquets, parmi les plus verts des perroquets du Brésil, et que, de leur plumage, on tisse une étoffe, vous pourrez vous imaginer la couleur du fameux pardessus.
Immédiatement, nous baptisâmes notre professeur Vert-Vert, et un spirituel loustic de la classe poussa un: As-tu déjeuné, ma petite cocotte? des plus comiques.
Le pauvre Vert-Vert devint plus triste encore que de coutume, et il me sembla bien que deux larmes lui perlèrent aux yeux.

Naar het complete verhaal van Allais

1882

Raoul de Najac

Lettres d'oiseaux

Een fan van Gresset

Aimable Raoul, nous connaissons un garçon qui raffole des perroquets au point
de les préférer à son prochain.
Quand il se promène, il se dirige machinalement vers le jardin d'Acclimatation,
et s'arrête à la volière des perroquets.
Il ne cesse de relire le poème de Vert-Vert , les trente-cinq contes d'un perroquet traduits de l'arabe par Marie d'Heures; enfin tous les ouvrages qui traitent des perroquets.

Raoul de Najac

188?

Georges Roque, Claude Gudin

La vie nous en fait voir de toutes les couleurs

Alfred Jarry, groen als Ver-Vert

«Jarry lui-même, un soir, décide de se peindre entièrement en vert, visage, cou, mains, poignets, pour voir la stupéfaction des buveurs quand il entrera au café. Franc Nohain a vent de la plaisanterie. Il prévient en hâte tous ses amis, tous les clients, tout le personnel. Quand Jarry arrive, vert, vert, vert, comme le héros de Gresset, vert comme un perroquet des îles, personne ne bronche.» C'est Jean Nohain qui raconte l'anecdote qu'il tenait de Franc Nohain. Comme tu peux voir, les plasticiens d'Ilotopie qui se sont promenés récemment peints, nus comme des verts, renouent avec une tradition des poètes de ce pays. Difficile d'innover !...

Mark Sanders Idle Idols: Alfred Jarry

From Idler 17, November 1996

In the post-Haussmann Paris of cafes and wide boulevards, Jarry was provided with a perfect setting for subverting the spectacle from within by creating an even greater spectacle of himself as a statement and celebration of the absurd. Arnaud, whose father Franc-Nohain was a companion of Jarry’s, recalled that one evening at least, Jarry had a taste of his own medicine. "Alfred Jarry decided to paint himself entirely green – face, hands, neck, wrists, in order to witness the amazement of the customers when he entered the cafe. My father heard of the joke. In haste he informed all his friends, customers and waiters. When Jarry strolled in, green, green like a green exotic parrot – no one batted an eyelid. They went on talking, drinking and reading. After a while, Jarry quite taken aback, asked my father, ‘Don’t you notice anything?’ ‘No, nothing at all. Should I?’ It took Jarry hours to get rid of the green. It stuck behind his ears for days."

Bron, waarschijnlijk: Arnaud, Noël. Alfred Jarry d'Ubu Roi au docteur Faustroll. Paris: La Table Ronde, 1974.

Over deze anekdote schrijft Mathijs van Boxsel aan HPM:

De anekdote staat inderdaad in Noël Arnaud p.430/431. Jean Nohain is de zoon van Franc-Nohain. De anekdote is niet opgenomen in de standaardbiografie van Patrick Besnier. Maar eerdaags verschijnt de biografie van Alastair Brotchie, en ik zal kijken of hij er melding van maakt.

Arnaud vermeldt ook dat Baudelaire Jarry hierin voorafging. Ook Baudelaire schilderde zijn haar groen (zoals heden ten dage Theo Kley, de Deskundoloog van de Insektensekte, erelid van de NAP zijn snor groen verft).

Ook Baudelaire was verbijsterd dat iedereen deed of zijn neus bloedde. Barbey d’Aurevilly deed trouwens goudpoeder in zijn baard. De dichters verbazen zich erover dat de wereld zich nergens meer over verbaast.

Jarry

1885

The Raven By Edgar Allan Poe with Literary and historical commentary by John H. Ingram

Ver-Vert ongeschikt om als model te dienen voor Poe's The Raven

"I [E.A. Poe - HPM] did not fail to perceive, in short, (...) that the difficulty lay in the reconciliation of this monotony [i.e. het herhalen van "Nevermore" - HPM] with the exercise of reason on the part of the creature repeating the word. Here, then, immediately arose the idea of a non-reasoning creature capable of speech, and, very naturally, a parrot in the first instance suggested itself, but was superseded forthwith by a raven as equally capable of speech, and infinitely more in keeping with the intended tone."
(...) so for a while, it is possible, he may have deemed the parrot suitable for his purpose. Gresset's Ver-Vert— that most amusing of birds!—with whose history he was familiar , may indeed have been recalled to mind, but that he would speedily discard all idea of such a creature as out of all keeping with the tone of his projected poem is evident.

Edgar Allan Poe

Zie 1839

1889

Champfleury

Henry Monnier Sa Vie, son oeuvre

Mevrouw Monnier als Ver-Vert

Le répertoire du mari et de la femme était peu nombreux : Madame Gibou, la Famille
improvisée, le Contrebandier pour Henry Monnier, Vert-Vert et quelques pièces de la
Déjazet pour la jeune femme.

Champfleury

Henry Monnier

1891

Thomas de Quincey

'Anna Louisa', in: De Quincey's Posthumous Works

Voss, Pope, Gresset

For your information, Doctor, it cannot be necessary, but on account of very many readers it will be so, to say that Voss's 'Luise' has long taken its place in the literature of Germany as a classical work—in fact, as a gem or cabinet chef d'oeuvre; nay, almost as their unique specimen in any national sense of the lighter and less pretending muse ; less pretending, I mean, as to the pomp or gravity of the subject, but on that very account more pretending as respects the minuter graces of its execution. In the comparative estimate of Germans, the 'Luise' holds a station corresponding to that of our 'Rape of the Lock’ or of Gresset's 'Vert-vert'—corresponding, that is, in its degree of relative value.

De Quincey

1891

Mémoires du Général Baron de Marbot , tome I, (Gênes-Auzterlitz-Eylan), 1891 (8e édition)

Verwend als Ver-Vert

Lorsque, bien des années après, j'ai lu l'histoire de Vert-Vert vivant au milieu des Visitandines de Nevers, je me suis écrié: «C'est ainsi que j'étais dans le pensionnat de Turenne!» Comme lui, j'étais gâté au delà de toute expression par les maîtresses et par les pensionnaires. Je n'avais qu'à désirer pour obtenir; rien n'était assez bon ni assez beau pour moi. Ma santé était redevenue parfaite. J'étais blanc et frais; aussi c'était à qui m'embrasserait!

Bijdrage van Jos Swiers

Jean-Baptiste Antoine Marcellin de Marbot
18 augustus 1782 – 16 november 1854

Marbot

1893

Armand Silvestre

'Angélus' - in: Histoires abracadabrantes

Een nazaat van Ver-Vert

Bien que les exemples soient rares que des perroquets se soient reproduits en captivité, il est certain que celui dont il s'agit en cette histoire avait certainement pour aïeul ce Vert-Vert dont Gresset a fait un conte d'ailleurs très inférieur au Lutrin. Il faisait, en effet, également les délices d'une communauté occupant, à Grandbourg, près Corbeil, une délicieuse habitation, sur une des plus aimables rives de la Seine. La maison, perdue dans le feuillage, n'était pas pleine seulement de nonnains, mais de grandes jeunes fllles y étaient religieusement instruites, avant d'entrer dans le monde, portant jusque-là, sinon le voile austère, des robes de couleurs sombres avec un large ruban sur la poitrine où pendait une médaille du bienheureux Xavier, patron de cet ordre innocent. Par vénération pour le fondateur glorieux, le nom de Xavier avait été l aussi donné au pieux volatile qui, d'une voix étonnamment souple, répétait avec une rare perfection tous les discours de sœur Théophase, supérieure de l'établissement. En bon perroquet ecclésiastique, il bourdonnait le latin, semblant secouer des oremus : à son énorme bec, et sa collerette verte se plissait alors, faisant, par derrière, l'effet d'une chasuble. Une onction considérable mouillait son œil rond à la pupille inégale. Car l'expression du regard dilate ou rétrécit celle-ci chez ces animaux d'une étonnante sensibilité. Il n'était pas un commandement de la vie disciplinée, qu'il partageait avec ses maîtresses, qu'il ne fût prêt à répéter,  si sœur Théophase avait une distraction. Il connaissait tout des prescriptions de la maison et l'heure exacte de chaque prière, comme l'heure du repas, comme l'heure du sommeil. Aussi jouissait-il d'une considération énorme dans le menu cloître, considération balançant presque celle de M. le curé de Soisy-sous-Etiolles, directeur des consciences venues là pour leur salut et leur édification. Les sœurs raffolaient de Xavier et les jeunes pensionnaires se disputaient la moindre caresse de l'heureux oiseau....

Dossier: Gresset, Le Lutrin Vivant - vertaling door Prudens van Duyse

Silvestre

Armand Silvestre

1895, 17 februari

Francisque Sarcey

Lezing in theater Odéon voorafgaand aan opvoering Le Méchant

Bron: Le Temps; verslag: Gaston Deschamps

Sarcey

Volledige tekst van de lezing (jpg)

1899

Dr. Jan ten Brink

Robespierre and the Red Terror

Robespierre bejubelt Gresset

He [Robespierre] also tried his hand at purely literary work. In 1785 the Academy of Amiens offered a prize for an Éloge de Jean-Baptist-Louis Gresset, the well-known author of Vert-Vert.

Gresset (1709—1777) was a very witty and entertaining poet, who related in his Vert-Vert (1753) the humorous history of a parrot. Polly, while in a convent, had learnt all kinds of proper and edifying words and expressions through the affectionate attention of the nuns, but, on falling into the hands of some rough sailors, had soon changed her polished manners and acquired quite a different conversational tone and vocabulary. On her return to her first residence, the convent, her former teachers, the nuns, were greatly shocked and extremely indignant at her degeneration, and punished her with meagre and scanty food ; but Polly soon improved her manners and her language, and her pious mistresses again bountifully supplied her with all kinds of delicacies—of which she died.

The humorous tone of this story—afterwards repeated in his Carême impromptu and Le Lutrin vivant—the witty description of convent life, secured Gresset many friends, so that he was elected member of the Academie française, notwithstanding the fact of his having been a Jesuit for some little time.

Except Robespierre, who obtained for his Éloge de Gresset an honourable mention, none of the other competitors were successful.

Ten Brink

Dossier: Gresset, Le Lutrin Vivant - vertaling door Prudens van Duyse

1903

Exemplaar uit de bibliotheek van Fernando Pessoa

Pessoa's signatuur op de achterzijde van het titelblad

 

 

Pessoa's exemplaar van Oeuvres choisies bevindt zich in de bibliotheek van het Casa Fernando Pessoa in Lissabon - KLIK HIER om daarheen te gaan en de PDF te downloaden

KLIK HIER voor grotere weergave van de pagina's

 

Zie de PDF in de digitale bibliotheek van het Casa Fernando Pessoa voor meer onderstrepingen in de tekst door Pessoa. De hier getoonde onderstreping is de eerste in het boek; het is de passage die Xavier de Maistre als motto opnam in zijn Voyage autour de ma chambre.

 

 

1908

Dr Gustave Witkowski

L'Art profane à l'église (France)

Een lotgenoot van Gresset: Père Bougeant

A l'apparition du poème badin de Vert-Vert, une seule personne ne se mit pas du coté des rieurs, ce fut la supérieure de la Visitation qui, usant et abusant de l'autorité de son fils, alors ministre, obtint des Jésuites « une punition exemplaire du scandale que l'auteur avoit causé, par la publication de cet ouvrage ». Gresset fut envoyé en disgrâce, de Tours à La Flèche. C'est dans la même ville que le Père Bougeant fut exilé, pour son Amusement philosophique sur le langage des bêtes et qu'il mourut de chagrin ; pareil sort eût été réservé au jeune Gresset, s'il avait été engagé par ses voeux.

Witkowski

Père Bougeant

1954

Ernest Campbell Mossner

The life Of David Hume

David Hume & Gresset

Whoever Hume's "Jesuit of some parts and learning" may have been, he most certainly was of a different class from Père Jean-Baptiste-Louis Gresset. Called from the Jesuit College at Tours where he had been teaching the humanities, Gresset in 1735 was temporarily sequestered at La Flèche. Still a scant twenty-six years old but already a Jesuit for ten years, Gresset had recently attracted the attention of the public, as well as of men of letters, by his deliciously naughty verses on the parrot of Nevers, Vert Vert. The Society of Jesus became disturbed over Gresset, and Gresset became unhappy in the Society of Jesus. At La Flèche he soon petitioned for release from his exile, and, after due time, it was granted him on condition that he resigned from the order. He was delighted to do so and went to Paris, where he made a name for himself as a dramatist. Gresset's story could hardly have failed to reach Humes's ears and it is pleasant to imagine that the two young men may have met and exchanged badinage.

Hume

1954

Vladimir Nabokov

Pnin

De baantjes van Pnin

"A small job at the Aksakov Institute, rue Vert-Vert, combined with another at Saul Bagrov's Russian book shop, rue Gresset, supplied him with a livelihood."

Noot HPM: Gennady Barabtarlo schrijft naar aanleiding van deze passage (in: Phantom of Fact: a guide to Nabokov's Pnin, 1989): 'Jean Baptiste Louis de Gresset (1709-1777) was the author of a humorous poem "Vert Vert" (1734), a story of a parrot and two convents, admired by Pushkin. Nabokov himself did not care much for either the Russian chronicler or the French rhymester (see Nabokov's letter 250 to Wilson…)

HPM heeft daarover niets in brief 250 gevonden, wel in brief 146, 2 december 1944, Nabokov aan Wilson: 'I work a lot. Have financial troubles. Am looking for a good solid professorship somewhere. Ipse quid audes? Quae circumvolitas agilis thyma? Have you ever read the "Sea-Serpent" by the zoologist Ondemann?'

De aantekening hierbij van redacteur Simon Karlinsky verduidelijkt Nabokovs woordspeling 'Ondemann' als volgt:

I.e., Merman, from French onde, wave, and German Mann, man. This form of Nabokovian humor is familiar to the readers of his fiction from such instances as the bantering conversation between Fyodor's father and Uncle Oleg in Chapter Two of The Gift ("Did you never see Popovsky's horse stung by Popov's fly," where the reference is to Przhevalsky's horse, Equus przewalskii, on whose discoverer's books and travels the character of the father is partly based). Another similar example occurs in Chapter Two of Pnin. "A small job at the Aksakov Institute, rue Vert-Vert, combined with another at Saul Bagrov's Russian book shop, rue Gresset, supplied him with a livelihood." Hère, allusions to Sergei Aksakov's two books about the Bagrov family (The Family Chronicle and The Child-hood Years of Bagrov's Grandson, which are also featured in Ada and provide that novel's subtitle) are mingled with a popular eighteenth-century novella about the adventures of an escaped parrot, "Vert-Vert" by Gresset, to suggest the Franco-Russian ambience of Pnin's émigré existence. (The Nabokov-Wilson Letters, Simon Karlinsky (ed.), 1979.

Nabokov